Dictionnaire général du wallon – Introduction
DICSIONAÎRE JÈNÈRÂL DO WALON
Dictionnaire général du wallon
INTRODWÎJADJE
Introduction
Johan Viroux
Copyright 2024
Plan
1 Présintâcion / Présentation
Le Dictionnaire Général Wallon / DGW – Li Dicsionaîre Jènèrâl Walon / DJW
1.1 Introduction
“Les mots et les choses, les objets et leurs images.”
(J. Neuris, in: LLB, 30/03/1990)
” BOULE DE FEU… A 7h25, dans le ciel de Bruxelles, plusieurs dizaines de personnes ont aperçu une ‘sorte de fusée trois fois plus grosse qu’un avion, très lumineuse et évoluant à grande vitesse mais sans bruit’. D’un témoignage à l’autre, les détails variaient: il s’ agissait d’une boule lumineuse suivie d’une série de fragments de couleur turquoise, ou de ‘feuilles d’aluminium’ volant en formation; d’objets sphériques de la taille d’un pamplemousse, dégageant des flammes vertes; d’une sorte de fusée de sapin de Noël bleuâtre etc.”
(J.-C. Matgen, Un OVNI dans le ciel belge ?, LLB, 24/09/1986)
1.2 Cadre du Dictionnaire
1.2.1 Entre la microlinguistique et la macrolinguistique
S’insérant dans une Linguistique Générale Wallonne (LGW) encore à développer, le DGW recèle des éléments de la culture générale wallonne (CGW). Ainsi, « les relations entre la langue d’une communauté humaine et sa culture – au sens anthropologique -, sa civilisation, sont particulièrement manifestes dans le lexique, dont les formes articulent en l’exprimant le contenu de l’expérience sociale » (Rey,1970,179). Le mot lexical constitue l’instrument par lequel les civilisations se construisent une vision du monde. Le dictionnaire de langue est de ce fait en relation de contiguïté et d’interpénétration avec le dictionnaire encyclopédique et, avec ses étroites limites, est le témoin de toute connaissance. (Rey,1982,36/42)
Le DGW est également un moyen de faire connaître le wallon comme une langue suprarégionale ou interrégionale, composée de 4 dialectes plus proches les uns des autres que l’on ne croit (le SW (sud-wallon ou wallo-lorrain), l’OW (l’ouest-wallon ou wallo-picard), l’EW (est-wallon) et le CW (centre-wallon). De grands dictionnaires dialectaux de J. Haust (EW), L. Léonard et J. Guillaume (CW), A. Carlier et W. Bal (OW), M. Francard (région de Bastogne) et J.-M. Pierret, l’abbé Mouzon (région de Neufchâteau) (SW), en ont déjà simplifié le vocabulaire en transposant des termes des divers endroits de leur zone de recherche dans le parler central de leur dialecte ou dans celui de la métropole régionale. Il faut tenir compte d’une langue compréhensible par la majorité et éviter l’utilisation d’un langage trop germanisé ou francisé. Comme une langue est aussi liée au facteur démographique, le DGW doit forcément ne pas oublier les facteurs extralinguistiques tels que les grands centres urbains qui constituent le plus grand réservoir potentiel de locuteurs wallons.
1.2.2 Genèse du D.G.W.
La publication de dictionnaires wallons n’est pas un fait nouveau. Au 18e siècle, on peut déjà citer l’abbé Cambresier, auteur du premier dictionnaire wallon, ‘Dictionnaire wallon-françois ou recueil de mots et de proverbes françois, extraits des meilleurs dictionnaires'(Liège, 1787), et Augustin-François Villers, ‘Dictionnaire wallon-français’ en 1793 à Malmedy. La réalisation d’un dictionnaire général wallon non plus. En 1857, outre la promotion de la littérature wallonne, la Société liégeoise de littérature wallonne se proposait d’élaborer une grammaire et un dictionnaire wallons. (Chronique,1987,172).
L’année suivante, Bailleux écrivait dans le Ier Bulletin de la Société Liégeoise de Littérature Wallonne (p.25) à propos de ses correspondants : « Vous aurez plus tard à examiner les services que vous pourriez réclamer de leur zèle pour réunir les matériaux d’ un dictionnaire général des divers patois romans de Belgique et de France ». (Legros,1958,22–236) Quelques années auparavant, Grandgagnage avait déjà été encouragé par un certain Diez à doter la philologie wallonne d’une oeuvre analogue à celle-ci. Ce Diez ‘sentait de loin l’originalité puissante du wallon’. (Haust,19O3,485)
En 1903, MM. Auguste Doutrepont, Jules Feller et Jean Haust formèrent, pour la préparation d’un dictionnaire général de la langue wallonne, une commission préparatoire à laquelle la Société adjoignit son secrétaire, Julien Delaite. Dans la séance du 9 mars 1903, cette commission proposa et la Société accepta les bases du Dictionnaire Général de la Langue Wallonne, à savoir le classement alphabétique immédiat des fiches, déjà au nombre de 60.000 (300.000 en 1911), d’après l’orthographe adoptée par la Société. Ce Dictionnaire eut pour point de départ le wallon-liégeois, ‘considéré comme le plus original et dont la culture est plus développée’. Il devait renseigner les ‘équivalents des dialectes wallons de Verviers, de Stavelot-Malmedy, de l’Ardenne, du Condroz, de Namur, du Brabant, de Charleroi, de l’Entre-Sambre-et-Meuse, et des quelques communes de la Thiérache septentrionale, actuellement françaises, mais qui appartinrent ci-devant à la principauté de Liège, comme aussi les termes gaumais, montois et tournaisiens. Le Dictionnaire serait rédigé de manière à servir aussi bien aux philologues qu’aux littérateurs et au public. Chaque article comprendrait, outre la prononciation indiquée en orthographe phonétique, une partie historique et étymologique, suivie d’une autre partie consacrée à l’usage courant, le tout avec exemples à l’appui. Les différentes formes dialectales d’un même mot se trouveraient en outre à leur rang alphabétique, avec renvoi à l’article principal. L’ouvrage serait accompagné d’un Traité de formation de la langue wallonne, qui en exposerait la phonétique, la morphologie et la syntaxe, et auquel le texte des articles renverrait, s’il y avait lieu. (BSLW, TXLVIII,1911,67-68)
Dans la foulée de ces résolutions, Jean Haust publia en un « Projet de dictionnaire général de la langue wallonne ». Il y prônait la nécessité d’une koinè : « Prosateurs et poètes collectionnent souvent les mots rares et les enchâssent dans leurs pièces sans se préoccuper de leur état-civil, sans se faire scrupule du mélange des dialectes, créant ainsi peu à peu une koinè dont les avantages sont visibles » (Haust, 1903,488). Il ne voulait pas enfermer cette langue quand il affirmait :
« Encore qu’il soit légitime de résister au courant de francisation qui nous assaille, on ne peut songer sérieusement à combattre l’emploi des mots étrangers qui sont le véhicule nécessaire des idées scientifiques. » (id.,485) Il pressentait enfin l’impact culturel d’une telle entreprise : « Vous souhaitez que le wallon vive et qu’ il soit cultivé ? Une langue qui a produit quinze cents pièces de théâtre, dont quelques-unes au moins sont des chefs-d’oeuvre, qui a donné l’essor à des romans, des poèmes, des satires à foison, qui a créé une floraison lyrique dont les fleurs ne pourraient plus se compter, mérite de vivre encore longtemps, longtemps, … Eh bien, le meilleur moyen de la faire durer, c’est d’en rassembler toutes les forces en un livre capable de résister aux coups de bélier des assiégeants. » (id.,485-486)
Pour un autre linguiste wallon, Jules Feller, la grosse difficulté serait de représenter tous les dialectes dans le dictionnaire (Feller, 1912,64). Afin d’entretenir des relations suivies avec ses collaborateurs éloignés, le Bulletin du Dictionnaire wallon était créé en novembre 1905. De plus, « au lieu de composer un article sur chaque forme d’un mot ou variante dialectale, il vaudrait mieux grouper la matière relative à un mot dans un seul et même article. » (id.,68)
« Le plan idéal d’un article consisterait à suivre d’un bout à l’autre l’évolution phonétique et l’évolution sémantique d’ un mot. » (id.,69) Il songeait aussi au renvoi à d’autres mots, synonymes ou quasi-synonymes.
Ce projet, très ambitieux, fut abandonné en partie à cause des positions différentes des 2 fortes personnalités de la commission du dictionnaire. A titre d’exemple, Jules Feller voulait les formes littéraires comme exemples tandis que Jean Haust préférait le parler authentique, celui qu’il avait pu entendre sur le terrain au cours de ses enquêtes. Jean Haust préférait également le travail en solitaire au travail avec de nombreux collaborateurs de tous ordres fournissant des documents de valeur forcément inégale. En 1927, il quitta la commission.
Actuellement, la S.L.L.W, qui a succédé à la Société liégeoise de littérature wallonne, dispose de quelque 335.000 fiches, fruit des enquêtes menées entre 1899 et 1927. Elle songe à les traiter avec un programme informatique. (cf SLLW – Chronique, 41, 1986, p.12) Entretemps, une commission de normalisation du wallon a été créée au sein de l’ U.C.W., l’Union des Associations Culturelles Wallonnes, et a déjà publié en 1992 un lexique, « Walo+, mès trwès mile prumîs mots walons ».
1.2.3 Les limites du nouveau D.G.W.
Vu l’impossibilité de mener à bien une entreprise telle que le projet originel en travaillant dans tous les domaines de recherche précités, le nouveau DGW se limite à un corpus d’un
peu plus de 500 dictionnaires, lexiques, glossaires, vocabulaires et monographies. Les proverbes, les expressions comparatives comprenant ‘ossi …qui’, ‘come’, ont été provisoirement laissées de côté pour reprendre de façon exhaustive les lexèmes et expressions de toutes les régions wallonnes de Wallonie. Ainsi, les parties gaumaise, picarde et champenoise ont été écartées encore que des formes des zones limitrophes plus proches de ces dialectes aient été reprises. L’informatique aidant, il est possible de combiner le dictionnaire wallon-français exhaustif à un dictionnaire français-wallon basé davantage sur la traduction directe. Certes, il restera toujours des mots manquants qui seront insérés dans une édition ultérieure.
1.2.4 Les limites géographiques de la langue wallonne
Tandis que la limite linguistique est bien délimitée entre le wallon et le néerlandais au nord et l’allemand, le luxembourgeois à l’est vu l’appartenance de ces langues à deux domaines linguistiques différents, il n’en va pas de même à l’ouest entre le wallon et le picard, et au sud entre le wallon, le gaumais et le champenois.
En 1913, le professeur Charles Bruneau, de Nancy, écrit qu’il y a au sud une ‘limite, flottante et instable’. (Bruneau,1913,125) Une des bases de délimitation est la consonne ‘s’ : comme dans ‘stauve ‘ (CW), ‘staule’ (SW), opposé au champenois ‘étâle’ et au lorrain ‘étaule’. (id.,128) Dans le département des Ardennes, la limite sud du wallon est Revin et les Vieux Moulins d’Hargnies. (s.n.,EMVW, 127)
Quelques décennies plus tard, Louis Gourdange délimite de manière scientifique les dialectes lorrain et sud-wallon au point de vue phonétique. La limite nord des traits proprement lorrains est Herbeumont, Mellier et Léglise ; la limite sud des traits proprement wallons ou chestrolais: Herbeumont, Suxy, Houdemont et Villers-sur-Semois? « Le véritable parler lorrain du nord ne commence pas avant Florenville, Lacuisine, Chiny, Izel, Jamoigne, Les Bulles, Termes, Rossignol, Rulles, Houdemont et Villers-sur-Semois. Quant au chestrolais, dépendant du domaine wallon, sa limite sud inclut, en comptant au mieux, Dohan, Cugnon, Saint-Médard, Straimont et Assenois. Une zone de transition étroite sépare ces deux aires dialectales. A l’ouest, elle s’élargit considérablement (Bouillon, Muno, Fontenoille, Sainte-Cécile, Chassepierre): c’ est le signe de la présence voisine d’ un autre dialecte: le champenois . » (Gourdange,1973-74,69-84)
Selon Jean Fabry (s.d.,5-12), la direction de la frontière wallo-picarde est foncièrement nord-sud. (cf J. Simon, Les limites du picard et du wallon en Belgique, in: Mélanges wallons, Liège/Paris 1892; A. Grignard, Phonétique et morphologie des dialectes de l’ Ouest-Wallon, BSLLW, T50, 1913)
“La limite des k, g /tch, dj, chez Simon, passe par La Louvière et englobe, dans le domaine wallon: Morlanwelz, Piéton, Carnières, Mont-Sainte-Aldegonde, Fontaine-l’Evêque, Leernes, Landelies, Gozée, Biesme-sous-Thuin, Hantes-Wihéries, Ragnies, Leers-Fosteau, Montignies-Saint-Christophe; dans le domaine picard: Haine-Saint-Pierre, Haine-Saint-Paul, Saint-Vaast, Leval-Trahegnies, Epinois, Buvrinnes, Mont-Sainte-Geneviève, Lobbes, Bienne-lez-Happart, Merbes-le-Château, Solre-sur-Sambre. » (p.12)
1.2.5. Les choix lexicographiques
Lexicographie et lexicologie
« C’est seulement en isolant et en libérant l’aspect purement linguistique du mot, ‘en créant une nouvelle unité linguistique’ et ses subdivisions concrètes, que la linguistique prend possession, méthodiquement, de son objet, un langage indifférent aux valeurs extra-linguistiques.” ‘Elle devient ainsi, pour la première fois, une science.’
(Mikhaël Bakhtine, Esthétique et théorie du roman,1975, s.p.)
La lexicographie a pour objet l’élaboration des dictionnaires de langue (recensement des formes ou entrées, présentation des renseignements linguistiques sur ces formes, production d’exemples). La lexicologie désigne plus particulièrement la science qui étudie le lexique ou le vocabulaire, elle désigne aussi la réflexion théorique sur les problèmes posés par l’élaboration des dictionnaires. (Mounin,1974,202-203)
Le type de dictionnaire
Le DGW est comme tout autre dictionnaire un « recueil de mots ou d’une catégorie de mots d’une langue, rangés dans un ordre en général alphabétique, avec leurs sens, des indications sur les conditions de leur emploi, et parfois des développements encyclopédiques. » (Collignon, Glatigny,1978,1966) Ce dictionnaire est le reflet d’ un ‘diasystème’ lexical du wallon. En effet, on appelle généralement ‘diasystème une construction linguistique formée à partir de plusieurs systèmes qui ont des ‘ressemblances partielles’. (Maurand,1979,331) De plus, il s’agit d’un dictionnaire de langue, type de dictionnaire caractérisé par l’abondance de renseignements concernant le signe, c’est-à-dire le mot comme élément du système linguistique avec l’indication de la nature grammaticale, la mention d’ un grand nombre d’expressions, de synonymes ou des mots de sens voisin. Il s’efforce de replacer le mot dans autant de contextes qu’il est souhaitable car « un terme ne prend son sens précis que dans un contexte » (id.,1978, 51), l’expression sémantique par excellence étant la phrase. (Benveniste,1974,224)
Il est aussi plus ou moins normatif par le jeu des renvois à une forme de base, celle qui est la plus commune. « Il est vrai qu’un dictionnaire plein de renvois n’est pas très séduisant, mais il est toujours nettement préférable à un dictionnaire bourré de renseignements ambigus et imprécis … » (Landheer, 1983,156)
La nomenclature: son organisation
L’ordre des lexèmes sera alphabétique mais sachant que cet ordre déstructure le lexique, le regroupement des familles dispersées s’effectuera par l’utilisation massive de renvois, par la mention de synonymes, parfois d’antonymes, d’homonymes et d’analogies, par le regroupement à l’intérieur d’un article consacré à un mot donné des dérivés et composés. De même, les règles d’orthographe, des tableaux avec les conjugaisons, les affixes et des termes appartenant au même domaine technique sont prévus.
Autant que possible, le mot ne sera pas isolé de ses champs morphologique (comme: lune — lunaire, alunir, …), lexical (one sadju — nule paut, là, …) et sémantique (tous les emplois du mot : j’ai cassé un verre, tu me casses les pieds, …).
L’article du dictionnaire de langue
Il s’agira de l’unité minimale appelée lexème (ou morphème lexical), correspondant au regroupement d’un nombre variables de formes dialectales, orthographiques.
1) Les mots à plusieurs formes, les locutions, les nombres
– Une entrée est réservée à un participe présent ou passé fonctionnant comme un adjectif.
D’emblée, comme le fait remarquer C. Muller, « il est très difficile de mesurer le degré de changement de catégories (des participes), puisque, au départ, ils ont déjà quelque chose de l’adjectif (ils marquent le résultat d’un procès). » (Muller,1963,167)
– Certaines locutions verbales figurent dans l’article consacré au verbe, d’autres dans celui dont le nom est la vedette. Un système de renvoi aidera le lecteur. Idem pour les groupes nominaux.
– Le nom des nombres
Un tableau général des nombres est prévu.
2) Problèmes de sens
Il faut distinguer les lexèmes entre eux en tentant de résoudre les problèmes de sens. « La signification est le procès qui associe un objet, un être, une notion, un événement à un signe susceptible de les évoquer : un nuage est signe de pluie, un froncement de sourcil signe de perplexité, l’aboiement d’ un chien signe de colère, le mot ‘cheval’ est le signe de l’ animal. » (Guiraud,1969,11) Tout mot est toujours motivé à l’origine. La motivation peut au fil du temps être oubliée : sandwich de Lord Sandwich et lunettes de lune. Cette motivation se présente sous 4 formes, 2 externes (phonétique et métasémique) et 2 internes (morphologique et paronymique). (id.,25)
Motivations
.phonétique:les onomatopées (acoustiques: cot’codâk, photocinétiques: toker, hopeler, …);
.métasémique : les changements de sens;
.morphologique : la dérivation, la composition;
.paronymique : confusion de 2 formes identiques (homonymes) ou voisines (paronymes).
De même, 14 espèces de tropes entrent en ligne de compte dans l’étude des changements de sens, auxquels il faut ajouter l’ellipse (on d’vantrin (tablier)) :
– la métaphore : on désigne un être ou un objet peu usité (à l’ origine) et on l’ associe à un autre (mieux connu);
– la synecdoque (on blanc-bonèt), la métonymie, l’antonomase, la catachrèse, l’onomatopée, la métalepse, l’épithète, l’ allégorie, l’ énigme et l’ ironie (périphrase, hyperbate et hyperbole). (id.,42)
Le problème des synonymes
Selon André Hella, les parfaits synonymes sont rares. « Nous n’en trouvons guère que là où nous substituons le terme scientifique au terme usuel, par exemple influenza à grippe. Ailleurs, entre les mots qui passent pour être de sens identique, il existe toujours des différences d’ordre logique ou, plus souvent, affectif. C’est pourquoi on ne devrait pas les appeler des synonymes, mais plutôt des parasynonymes. » (Hella,85)
Il faut aussi souligner
.la valeur des préfixes intensifs qui parfois s’efface graduellement, comme en français le re- de reluire, rentrer, reposer, se réjouir et en latin tardif : manere, secare et stringere remplacés par remanere, resecare et restringere (Carnoy,1927,366) ;
.le problème des affixes -adje, -mint:
3 cas se posent en français :
– le rattachement des 2 suffixes au radical n’est pas attesté: bronzage mais pas bronzement; amincissement mais pas amincissage;
– les 2 suffixes se rattachent au même radical : dans certains contextes, l’un ou l’autre est exclu: nettoyage – nettoiement, battage- battement, arrachage – arrachement ;
– les 2 suffixes se rattachent au même radical : dans le dictionnaire, on ne mentionne pas de synonymie entre bredouillage et bredouillement , étêtage et étêtement (Mok,1983,71).
Le problème des homonymes
Les homographes sont rangés sous le même lexème quand ils appartiennent à des catégories grammaticales différentes :
lachî (lâcher) et lachî (le lâcher). Pour les homographes de même catégorie grammaticale, la solution est la même s’ils présentent la même étymologie: voler (dérober) et voler (s’ élever dans l’ air) ont la même étymologie: le latin volare.
Le problème des métaphores
Il y a lexicalisation d’une expression métaphorique à partir du moment où « le remplacement d’un des éléments de l’expression par un synonyme donne une impression de surprise, d’étrangeté ou de maladresse » (Collignon, Glatigny,1978,86)
En wallon, ‘vèsse-di-leup’ fera l’objet d’une entrée car le locuteur ne fera pas ou plus le rapprochement avec ‘vèsse’.
Le problème des syntagmes
Des locutions adverbiales où vivent des éléments archaïques ou non perçus séparément comme ‘odjoûrdu, asteûre’ et des syntagmes prédicatifs convertis en substantifs comme ‘vas-se-ti-r’coûtche’ font l’objet d’une entrée séparée.
Le problème des néologismes et des archaïsmes
En ce qui concerne les archaïsmes, il est difficile de dire quels mots en wallon sont encore utilisés et ceux qui ne le sont plus sauf pour certains domaines technologiques entièrement disparus. Tous ces termes ont dès lors été conservés.
Les néologismes seront admis dans une édition ultérieure.
Nous touchons ici au problème de l’amateur qui veut ici des règles prescriptives et le linguiste des règles descriptives.
3) Les renseignements qui précèdent la composante sémantique
– la composante graphique
. La diversité graphémique sera réduite grâce à la suppression des graphèmes écrits dans une orthographe différente de l’orthographe Feller, progressivement généralisée depuis le début du siècle dernier.
. Dans le choix des règles orthographiques à l’ intérieur du système Feller, il faut tenir compte du lecteur peu habitué à lire et encore moins à écrire le wallon en ce sens que l’ordre alphabétique « ne permet une consultation rapide que dans la mesure où la graphie du mot cherché est connue au moins dans sa partie initiale. » (Collignon, Glatigny,1978,88)
Ainsi, le phonème latent ‘h- ‘ est conservé en début de mot dans un souci d’unité et de clarté afin d’expliquer le phénomène du hiatus dans certains dialectes où il n’est plus prononcé.
Des locutions adverbiales où parfois vivent des éléments archaïques sont écrits en un mot : odjoûrdu, asteûre, … où ‘-u’ et ‘-eûre’ ne sont pas ou plus ressentis comme éléments sémantiquement distincts du reste de la locution.
– la composante morphologique : le féminin et le pluriel (aux cas échéants), le renvoi au tableau de conjugaison (pour les verbes)
– la composante phonique (si nécessaire)
– la composante syntaxique : catégorie grammaticale (nm, nf, npl.; adj ; vt, vi, …), le genre et le nombre.
4) La définition lexicographique
Dans un dictionnaire de langue, elle doit être spécifique, et n’a donc pas besoin d’être complète, encyclopédique. Elle doit correspondre au savoir virtuel de l’utilisateur non spécialiste. Et par quelle acception faut-il commencer dans la présentation des différentes acceptions des mots polysémiques?
Vu que la méthode historico-logique des filiations de sens peut être aisément critiquée, nous pouvons partir du sens qui paraît à nous, locuteurs courants de la langue wallonne, le plus fréquent.
Les autres dictionnaires
Les dictionnaires bilingues dans les langues officielles
A noter :
1) le nombre d’entrées dans le:
– Dictionary Woordeboek (Afrikaans-Engels, Engels-Afrikaans) (Collins, 1981) : 39.000 entrées ; – Dictionnaire français-albanais (8 Nëntori, 1966): 20.000 ;
– Universal Wörterbuch Dänisch-Deutsch / Deutsch-Dänisch (Langenscheidt, s.d.) : 30.000 ;
– Universal Wörterbuch Finnisch-Deutsch / D.-F. (Langenscheidt, s.d.) : 30.000;
– Svenska Duden, 1962 : 25.000.
2) la mention de formes régionales dans les dictionnaires bilingues néerlandais-français et anglais-français.
Les dictionnaires bilingues dans les langues minoritaires
1) Les dictionnaires dialectaux
En Amérique, en 1984 paraissait le premier dictionnaire ‘cajun’ aux USA après le dictionnaire canadien-français aux Presses de l’Université de Laval en 1974.
En Belgique, il faut citer le dictionnaire marollien du couple Starck-Claessens en 1988.
2) Pour le luxembourgeois, le nouveau dictionnaire français-luxembourgeois de 30.000 mots de H. Rinnen en 1989.
En frison du nord, un dictionnaire de 18.000 mots (in: In Nordfriesland Ausbau für friesische Sprache, pp.17-18, in: Europa Ethnica, 1/87)
En Espagne, un dictionnaire aragonais-espagnol et e.-a. de 32.000 entrées en 1984.
Le premier Wörterbuch des Rumantsch Grischun parut en 1985 avec 22.000 lexèmes.
3) Dans le Dicziunari Rumantsch Grischun, on trouve aussi les noms de lieu et de cours d’ eau, les prénoms et les noms de famille.
4) Parmi les dictionnaires généraux, citons le Dicziunari Rumantsch Grischun en Suisse romanche, le Diccionari general de la llengua catalana de Pompeu fabra en 1968, et le Great Frysk Wurdboek aux Pays-Bas frisons.
5) Tentatives d’uniformisation
– en France avec l’ASSIMIL, L’Occitan sans peine, en 1975, où une place essentielle est réservée au languedocien central, situé à peu près au centre de l’Occitanie et aisément compréhensible par tous les Occitans. (Préface, XVI) ;
– chez les Roumis (ou Gitans) qui, lors d’un colloque international sur leur langue et leur culture, décide d’une langue roumi standard et la publication d’un dictionnaire standard (in: Vanek ¨Siftar, International symposium on Romany Language and Culture, in: Europa Ethnica, 1/1987, pp.36-37).
Les dictionnaires wallons
Deux livres font chacun état d’un problème lexicographique : l’homonymie et la polysémie d’une part et d’autre part les mots et expressions relevant du langage grossier ou vulgaire.
La préface du dictionnaire de l’ouest-wallon d’Arille Carlier / Willy Bal (Vol 1, A-E, Ed. ARLW, Charleroi, 1985) nous éclaire sur le premier point.
L’homonymie est traitée par la formule 1.X1 2.X2 tandis que la polysémie l’ est par X 1…. 2…. 3…, les acceptions étant en principe rangées selon les étapes attestées ou hypothétiques de l’évaluation sémantique (pp. XX-XXI). On insiste sur l’ordre qui n’est pas toujours significatif en prenant comme exemple ‘chwine’ (homonyme ou polysème?) et catcho(t).
En outre, il est stipulé qu’une “localisation précise ne doit jamais être tenue pour exclusive”. (p.XVIII)
« Les mots du type ‘tchèvau’ et ‘djèmi’ sont rangés sous leur forme pleine, dans l’ordre alphabétique des variantes. » « Des formes phonétiquement différentes d’un même mot ont été regroupées dans divers cas. » (p. XX)
Pour les variations du genre èspène / sipène (voyelle de prothèse ou d’épenthèse) et èrvènez/rivenèz (prothèse vocalique), ils ont choisi comme entrées “les formes sans appui vocalique (les formes brèves), les seules à être communes à l’ensemble du domaine.” Donc, spène et r’vèni.
Pierre Faulx, – dans ‘Pwève èt sé di d’ci, Expressions wallonnes de Roux-Jumet (Charleroi), in: Les Cahiers de la Sambre, 8, 1989 p.3 -, mentionne que la grossièreté peut être exprimée dans les langues dominantes, véhiculaires, internationales, nobles … Il poursuit en disant que le français a été soumis à une ‘émasculation’ en règle à l’époque classique et au-delà, ce qui n’a pas été le cas des dialectes (ou de ceux considérés comme tels) . A titre d’exemple,” ‘couri à s’ cu’ signifie poursuivre sans que le locuteur pense expressément au ‘cul’ de poursuivre.” (p.4)
Critique d’autres dictionnaires wallons
Il s’agit d’éviter le plus possible les erreurs et les lacunes de dictionnaires précédents en s’inspirant des commentaires critiques d’éminents spécialistes.
Dans son rapport sur l’ALW 3, Elisée Legros affirmait qu’aucun chercheur « ne peut se flatter d’avoir tout recueilli et de n’avoir recueilli que des faits absolument sûrs et bien étiquetés. » (Legros,1954) Prenons dans ce cas le questionnaire Haust qui partait du français pour enquêter sur le wallon.
Sur un petit glossaire de 284 mots du dialecte de Marche-en-Famenne remis à un concours de la Société de Langue et Littérature Wallonne, F. Danhaive, A. Grégoire et J. Feller émettaient des critiques orthographiques à ne pas oublier dans ce DGW :
– le principe d’analogie réclame ‘-èt’ dans ‘couchèt’, ‘t’ dans ‘soûrdant’, ‘s’ dans ‘dandjèreûs, nèreû’s, ‘-eûs’ correspondant au fr. ‘-eux’ ;
– pas de ‘-isse’ à ‘sankis’ ‘; pas de ‘-t’ à ‘sbara’ ;
– « pour ne pas créer en wallon des groupes germaniques de consonnes comme ‘tl, dl, sl, jl, jn, chn, rm’, il faudrait écrire avec un ‘e’ muet ou du moins une apostrophe ‘agadelè, chovetè, èssoketè, rapaujetè, tîjenè, mèchenè, drousselâde, moreminces’, etc. » ;
– « le son ‘ô’ de la Famenne et du Namurois qui correspond à ‘â’ ardennais serait mieux écrit au point de vue étymologique et comparatif: ‘à s’-t-auje’, …, ‘pautchemin’. »
(Danhaive, Feller, Grégoire,1933,63).
En ce qui concerne les limites du wallon, M.-T. Counet affirme que le dictionnaire de Gillet fait partie du champenois (Counet, 1990, p.93) tandis que pour J. Germain, J.-M. Pierret et M. Francard, c’est du wallo-lorrain. Le contenu lexical du DFL ne correspond pas à celui du DLF. Etc.
Il faut ajouter que ces risques d’erreurs ne sont pas l’apanage des dictionnaires à faible budget. Les exemples d’omission sont légion chez les dictionnaires bilingues anglais / allemand / néerlandais – français et vice versa malgré le travail assidu de toute une équipe de professionnels de la lexicographie.
1.2.6. Composition du D.G.W.
Liste des sources lexicales (cf références : à ajouter)
Méthode de travail (à ajouter)
Règles de normalisation: les cas particuliers (à compléter ultérieurement)
1.2.7. Exploitation possible du D.G.W.
L’exemple de l’étranger
La créativité lexicale
La créativité est la possibilité en linguistique pour un système signifiant, de créer des unités nouvelles à partir du code existant. Ainsi, on crée de nouveaux mots pour avoir une meilleure prise sur la réalité.
A partir du stock de morphèmes disponibles et compte tenu des règles de combinaisons autorisés par chaque langue, on peut fabriquer tous les mots qu’on veut et leur affecter un sens.
Il y a donc ainsi une infinité de mots virtuels qui ne demandent qu’à apparaître pour couvrir de nouveaux concepts, pour boucher des trous, rétablir des symétries. Les néologismes et réfections analogiques actualisant la composition morphologique du mot la rendent évidente pour tous au plan synchronique, avant que l’histoire n’ait eu le temps de brouiller les contours. « Le néologisme, dit Jakobsen, oblige à une pensée étymologique. » « En français du Sénégal, on relève par exemple: ‘gaucher’ pour ‘tourner à gauche’, ‘linger’ pour ‘faire la lessive’, ‘indexer’ pour ‘critiquer’, ‘cadoter’ pour ‘faire cadeau’.” (Yaguello,1981,66-68)
Le cas récent du romanche est aussi frappant dans ce sens. « Das RG hat für viele Texte von Banken, Versicherungen, der Post und der Bahn sowie für amtliche und informative Texte des Bundes schnell Anklang gefunden. » (Solèr,1993,140) Le premier dictionnaire général parut en 1985 avec 22.000 entrées. Les listes de mots nouveaux comprennent actuellement un vocabulaire de 170.000 entrées.
Citons enfin le dictionnaire sportif en catalan commandé par le comité organisateur des J.O. de Barcelone en 1992 et le gouvernement autonome catalan. (in: Dites ‘basquetbol’, LLB, 16/05/91)
Prenons à titre d’exemple: ‘sporta’ (faire du sport) en suédois, ‘el semanario’ en espagnol pour hebdomadaire et l’ anglais ‘pain-killer’ pour analgésique, mot technique créé par métaphore.
Ainsi, rien ne nous empêche dans un proche avenir de rédiger un essai sur la terminologie wallonne dans les domaines les plus divers de la vie moderne, en guise de prélude à la création d’un climat de liberté linguistique. Certains se sont déjà mis à la tâche, comme un vétérinaire belge au Maroc, Lucien Mahin, plus connu sous le pseudonyme de Louline Vôye, dans la recherche de néologismes.
1.2.8 Conclusion
C’est le rôle du dictionnaire de fixer, de situer pour la communauté linguistique les rapports des mots aux autres mots, les enchaînements et les dérivations de sens, les liens de synonymie et d’ antonymie. Le ‘dictionnaire de langue’ traite le mot comme un signe. Mais « le lexicographe le mieux intentionné, le plus dépourvu de préjugés sociaux, le moins normatif, ne pourra éviter (même à plusieurs) de faire des choix arbitraires, choix liés d’ailleurs à la taille du dictionnaire et au public visé. » (Yaguello,1981,190)
1.3 Bibliographie
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Ard |
Ardenne(s) |
Barb |
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BD |
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Bo |
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E |
est |
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Hu |
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Mi |
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My |
Malmedy (EW) |
Mont |
Mont-le-Ban (SW) |
N |
nord |
Neuf |
Neufchâteau (SW) |
Ni |
Nivelles (OW) |
O |
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O54 |
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S |
sud |
Sta |
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SW |
sud-wallon |
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G50b | PINON, Roger, Une punition au jeu : “Passer les baguettes” en Wallonie, in: E.M., 3/82, pp. 62-63 |
G50c | PINON, Roger, Une punition au jeu : “Passer les baguettes” en Wallonie, in: E.M., 4/82, pp. 84-86 |
G50d | PINON, Roger, Une punition au jeu : “Passer les baguettes” en Wallonie, in: E.M., 5/82, pp. 90-93 |
G50e | PINON, Roger, Une punition au jeu : “Passer les baguettes” en Wallonie, in: E.M., 6/82, pp. … |
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O12 | BAL, Willy, Le temps et ses divisions, l’année traditionnelle et les phénomènes climatériques dans le patois de Jamioulx, in : Les Dialectes belgo-romans, 9, 1952, pp. 5-31 |
O13 | BALLE, A., Les “faudreûs” dans l’Entre-Sambre-et-Meuse, in: Les Dialectes belgo-romans, 11, 1954, pp. 103-112 |
O14 | DASCOTTE, Robert, Les divisions du temps, l’année traditionnelle et les phénomènes atmosphériques de quelques communes du Centre, in : Les Dialectes belgo-romans, 22, pp, 135-182 |
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O16 | DELFERIERE, L., Glossaire du patois de Soignies (Hainaut), dans: Linguistique Picarde, no26, 1968 et no30, 1969 |
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DASCOTTE, Robert, Les pattes de taupe comme remède populaire, in : Enquêtes du Musée 12179, p. |
O21 | HAROU, A., La sorcellerie à Godarville avant 1900, in: EM, 10182, pp.198-203 |
O22 | HAROU, A., Les êtres fantastiques à Godarville, in: EM, 7182, p. 131 |
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O24 | MARECHAL, Lucien, Le moulin à vent de Mavoinage, à Silly, in: Enquêtes du Musée de la Vie Wallonne, 1924-1930, pp. 280-290 |
O25 | DASCOTTE, Robert, Le jeu de crosse à Maurage et à Givry, in: EM, 11177, pp.222-225 |
O26 | BAL, Willy, Le sport colombophile à Jamioulx, in: V.W., 1938, pp. 341-346 |
O27 | CAMBIER, Arille, Le “tirlibibi” in: EM 5176, p. 172 , jeu de hasard, |
O28 | DASCOTTE, Robert, A propos de “rinchinchin”, in. EM, 9176, p. 172 |
O29 | DASCOTTE, Robert, èl dIeu d’ clicotia, in: EM, 6182, pp. 118-119 |
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O32 | PINON, R., VANDEREUSE, J . , Quelques carnavals curieux de l’Entre-Sambre-et-Meuse, in: GW, 1960, 1, pp. 115-122 |
O33 | PINON, R., Les “feûreûs” aux Ecaussines, in : EM, , 1977, pp. 4-8 |
O34 | JOOS, Paul (Abbé), Le “toûr à foyas” à Soignies, in: EM 4179, pp. 70-72 |
O35 | DASCOTTE, Robert, La semaine sainte, in: EM 3182, pp. 56-57 |
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O38 abc |
LORGE-GILBERT, Geneviève, Le cerclage des roues à Bornival, in : EM 6/83, pp. 106-108 [a], EM 7/83, pp. 134-136 [b], EM 8/83, pp. 150-152 [c] |
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O42 | DASCOTTE, Robert, Pour se débarrasser des taupes, EM 5180, p, |
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O54 | Notes, [à propos du texte: “Extrait d’ èm’ clotchî”][de Clément Deforeit], in: èl Bourdon, 416, 1989, pp. 38-40 |
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O56 | FAUCONNIER, J.-L., Lès spineûs, in: Èl Bourdon, 427, 1980, pp. 26-28 |
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SUD-WALLON
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S18 | CULOT, Calixte, Glossaire des textes wallons utilisés dans l’industrie ardoisière à Warmifontaine, s.d., 4 p. |
S19 | NICOLAÏ, Robert, La vie sauvage (végétale et animale) dans le parler de Léglise [Ne64], Mémoire de Philologie romane, U.C.L., 1987 |
S20 | GUERARD, Joseph, L ‘apiculture dans le centre de la province de Luxembourg, vocabulaire francais et dialectal, Mémoire de Philologie romane, 1975 |
S21 | ANSELME, Michel, Etude lexicologique sur le patois de Bertrix: le jardinage, Mémoire de Philologie romane, U.C.L., 1979-1980 |
S22 | MOUZON, Abbé Raymond, éd., Dictionnaire du wallon chestrolais, manuscrit |
S23 | GOURDIN Yves, Glossaire du wallon de Bertrix, s.d. |
S24 | TWIESSELMAN François, L’ patois d’ Bouyon, ULB – Ecomusée de Treignes, éd. D.I.R.E., 1994 |
S25 | PIERRET Jean-Marie, Etude dialectologique et ethnographique sur la commune de Longlier, La maison rurale, UCL, 1972 |
S26 | HAUST, J., Glossaire chestrolais, (manuscrit), s.d. |
S27 | PECHEUR, Emile, /Liste de mots/, Saint-Hubert, s.r. |
S28 | DEFOSSE, A.C., Notes sur le patois et le folklore bertrigeois, 1980 |
ST1 | Rita GEUZAINE-GEORGES, née à Engreux, Bourcy |
ST2 | Christian CREMER, Hardigny |
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Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire).