manières vivre passé tailleur pierre
VIKADJE DO PASSÉ
Manières de vivre du passé
TAYEÛ D’ PÎRE
Tailleur de pierre
li tayeû d’ pîre dins l’ culture bèlje walone, picarde èt gaumèse
le tailleur de pierre dans la culture belge wallonne, picarde, gaumaise
Plan
0. Ilustrâcions / Illustrations
tayeû d' pîre à Gobetindje (tailleur de pierre à Gobertange)
(s.r.)
lès-ostèyes do tayeû d' pîre (les outils du tailleur de pierre)
(in: Auguste Laloux (Dorène / Dorinne), Les Cahiers Wallons, 4, 2010)
(in: Pierres et Marbres de Wallonie, Ministère de la Région Wallonne, éd. AAM, 1987)
tayeû d' pîre à L'ssine / tailleur de pierre à Lessines
(in: Georges Laport, VW, s.d., p.112
(in: PP?, 07/06/1979, p.108, 107)
1. Jènèrâlités / Généralités
in: Georges Laport, Au pays de l’Ourthe et de l’Amblève, VW, 1922-23, p.555-560
La carrière de granit / Le tailleur de pierres
Au bout de la carrière de granit, près des quais de chargement où accostent les wagons du chemin de fer et où viennent les charrettes, se dressent les établis des tailleurs de pierres. Chacun de ces ouvriers possède une late : c’est un écran de paille tressée, derrière lequel il s’abrite, ainsi que son matériel, contre les intempéries de l’air. Les hayons, traverses en bois, servent de trame à la paille. Une fotche, fourche provenant d’un taillis, maintient la late penchée à la façon d’un toit. Certains tailleurs de pierres prennent deux lates, qu’ils inclinent l’une contre l’autre, comme les enfants bâtissent les châteaux de cartes. Ils bouchent l’une des ouvertures au moyen d’un écran soit triangulaire, soit affectant la forme d’une herse, ce qui lui a valu le nom d’ îpe. Sous sa laie, le tèyeû d’pîres a un cofe (coffre) dans lequel il serre ses outils, sitôt la journée terminée, un grès (bloc de grès) pour sêmî (aiguiser) ses ponçons (poinçons) et ses cisês (ciseaux).
(p.556) Les poinçons et les ciseaux étaient autrefois en fer, seule la partie attaquant la pierre était en acier. Après un usage de quelque temps, le tailleur portait ses outils à la forge afin que le rawehieû (forgeron) fît un rènèsselèdje ou, si vous préfèrez, qu’il rechargeât l’acier. Après cette opération le forgeron raw’hiéve l’outil, c’est-à-dire affûtait la pointe ou amincissait le tranchant. Aujourd’hui poinçons et ciseaux sont complètement en acier et on n’a plus besoin de les rènèsseler. Le tailleur de pierres passe seulement ses ustensiles sur le grès. S’il fait une courte pointe à un poinçon, on dit qu’il a sêmî à bètch di moton (taillé en bec de moineau). Pour rendre la pierre plus mordante, il est obligé de ripicoter l’grès ou d’enlever la surface lissée par le frottement des ustensiles. Il travaille assis sur un hame, tabouret à pied unique, pose le bloc entre les jambes, ou s’assoit dessus si les dimensions sont trop grandes. Dès qu’un bloc est épincé, le maître de la carrière braît à cayau. Expliquons-nous. Il rassemble tous les tailleurs de pierres, indique la façon dont le cayau (bloc épincé) doit être taillé et propose tel prix pour cette besogne. Certains ouvriers ne sont très habiles que dans une partie de la taille. Le journalier le plus ingénieux dans le genre indiqué, celui qui croit pouvoir faire l’œuvre dans le moins d’heures, ce fini lui haussera son salaire, dira au patron qu’il accepte la tâche. Il est toujours très désagréable de faire terminer la taille par un artisan différent de celui qui l’a commencée. Quand le cas se présente, le maître ouvrier dit qu’il a eune pîre qui torèle (une pierre qui demande le taureau) et nécessité lui est de prier un tâcheron de ripotchî d’ssus (reprendre la taille ; potchî= saillir, sauter). Le tailleur s’entoure le pouce d’un faliga, morceau de cuir préservant la paume du contact de l’acier. Le cayau amené sous la late du sculpteur, celui-ci trace li traît avec un côpeû, large ciseau rayant la pierre aux dimensions voulues : i faît eune djonteûre. Il enlève les morceaux en trop au moyen d’un fèreû-foû, large ciseau aplati à son extrémité, sur lequel il frappe avec un marteau en fer, la massète. La portion enlevée, la ritèye, est mise de côté et pourra être employée ultérieurement. S’il partage un bloc en deux, il fait une passeûre. Puis il râye si pîre: il la ligne en se servant d’un rûle (planche longue et étroite tenant lieu de règle) et d’un ciseau à l’endroit où il esquissera sa ciselure. (p.557) Il cherche à aplanir la face autant que possible avec un sbateû (léger poinçon). A l’aide d’un cizê (ciseau) il dessine une étroite ciseleûre sur la longueur du bloc, ensuite sur la largeur. I vise si face : il prend deux rûles et s’assure de la parfaite planitude de sa besogne. S’il a laissé une excroissance, i met’ si tètche, il note d’un trait l’épaisseur à faire disparaître. Quelquefois il est forcé de forvîser, c’est-à-dire de laisser le côté duquel il vise plus bas que l’autre. En cas contraire on dit qu’il doit lèyî sclimpe. Après avoir ciselé ses deux arêtes, il taille les deux autres en ayant soin de veiller à la planitndc. Il égalise le milieu avec une fine pointe : i sbat’ li face. Le sbatèdje ou second épinçage est terminé.
L’action suivante est le bouchardèdje. Le tailleur passe le bloc à la bouchâde (boucharde) pour faire disparaître toutes les aspérités appelées bosses, frokes ou makes. I tape à bosses, a pokes ou à makes. Il encadre la partie bouchardée d’une bordure ciselée à laquelle on a donné le nom de palète : I tape eune palète.
(p.558) Si la face du bloc n’est pas encore suffisamment unie, le tailleur enlève les gibbosités restantes à la gradine (martilleur). C’est le gradinèdje. Vient ensuite le hèplèdje. L’ouvrier cisèle le bloc à grands traits avec un ciseau très large à la base, nommé hèrpê. Il tape sur le hèrpê avec un gros marteau en bois, de forme bien caractéristique, le mayèt. La partie du maillet avec laquelle il frappe sur le ciseau est dénommée tape. Le ciselèdje suit. On équarrit le bloc, on ébauche les moulures, on les èpaneléye. On sculpte et cisèle finement la pierre : on r’tond l’pîre. Tels sont les différents stades dèl tèye dèl pîre (taille de la pierre). Il nous reste à parler des exécutions particulières à certains travaux. Le maître de carrière donne au tâcheron un moule, platine en zinc représentant la sculpture à réaliser. Celui-ci calque sur la pierre le motif avec une fine pointe. Il vérifie la justesse, l’harmonie de ses lignes avec différents instruments : le compas, le sqwére (équerre), le fâs sqwére (équerre à bras mobiles). Lorsque le tailleur pointillé les contours d’une sculpture ou d’une lettre pour mieux la faire ressortir on dit qu’il piketêye li pîre. Il lui arrive de trintchefiler, c’est-à-dire de ciseler un filet d’un demi-centimètre de largeur le long d’une pierre brute. Il adoucit certaines arêtes en les limant avec une rape. Il polit telle sculpture avec un lapidaire, marteau dont le chef est en ciment. Si le tailleur a effectué des piliers à soutenir une barrière, il creusera des trous, les govions, où l’on coulera le plomb pour maintenir la barrière en place. Lès govions chèrvèt à èplonkî l’ bârîre. En général, les tailleurs laissent à chaque bloc un afranchi, bord dépassant de trois centimètres, les mesures données par l’entrepreneur pour parer à toute éventualité. Quand il a taillé l’une des faces et qu’il s’apprête à sculpter l’autre, il la rabat’ (renverse) sur la payasse, tas de paille ou d’éclats amortissant le choc : i scole li pîre. Pour trouer, il utilise un vilebrequin, le windê. Ou renforce le mayèt avec des cèkes (cercles en fer). Si la tape est endommagée par un battement continuel, on la recoupe à l’aide d’un cizê à bwès. On-a r’côpé l’ mayèt à pîd d’vatche (on a recoupé le maillet au pied de vache).
(p.559) Le tailleur doit éviter certains défauts. Lorsqu’il trace une série de hachures parallèles, s’il oblique légèrement vers la gauche, il a avancî. S’il se laisse entraîner vers la droite, il s’est lèyî drî (laissé derrière). Un coup de ciseau maladroit peut honi (gâter) un bloc. Il se gardera de faire un hård (une brèche), d’entailler une arête. En ce cas il recolle souvent la fraction enlevée avec une composition d’huile et de cire : le mastik. S’il heurte une sculpture il produit une catche qu’il doit rèwaler (égaliser). Les tailleurs sont sujets à certains maux qui se logent dans la main : les crèveûres, crevasses produites par l’action de la gelée dans lesquelles s’introduit la poussière de la taille, la sbateûre, durillon blessé qui enflamme la paume de la main. La sbateûrc empêche très longtemps l’ouvrier de travailler, ce qui le porte so l’ caîsse (« être sur la caisse », se dit de tout carrier blessé qui touche une rémunération). La richesse du vocabulaire du -tailleur de pierre ne comprend pas seulement les mots se rapportant à son travail ; chaque pierre, chaque sculpture porte une désignation spéciale. Citons les principales : Les pierres d’écluses : les crapaudines et les tchèrdins : de barrage d’eau : les muswêrs. L’ arcateûre, le dessus d’une fenêtre d’église. Certaines moulures se terminent nettes, sans ornements : elle s’arèstèt à orèye. L’ arètèdje est la partie enlevée pour obtenir la moulure d’une marche d’escalier. L’ aspalé ou l’ atente, chambranle d’une porte ou d’une fenêtre. On raccorde les blocs entre eux soit par des batêyes, carrés découpés dans les blocs, soit par des botons et des botenîres (arcs de cercle saillant et rentrant), soit par des épis (triangle sortant et rentrant) ; soit par des rimoulemints, légères rainures ; soit en donnant un coup de ciseau pour permettre de la maçonner aisément, on a alors eune face crokêye. Le bosse est la partie convexe d’une moulure ; le creux la partie concave. La digrète est une petite ciselure. La biète ou partie saillante d’une moulure. Le cassi ou le crin, sculpture sortante à angle droit. Le claveau, pierre d’un cintre, au milieu duquel s’incruste la clé. Le cou d’lampe est le dessous d’une console. La coulisse est une entaille droite. Les dinticules, espèces de créneaux répétés le long d’une pierre taillée. Le dint d’leû est une rigole servant à l’écoulement des eaux. Le gland et le rôlkin sont des ornements figurés de chaque côté d’une console. La ristike représente une cannelure droite.
(p.560) Dès que la pierre est taillée, le bârdeû réapparaît pour la charger sur wagon ou sur charrette. Il prend alors le nom de tchèrdjeû (chargeur). Si les blocs ne sont pas trop lourds, deux hommes les enlèvent sur une civîre (civière). S’ils sont trop volumineux, ils les glissent sur des horons ou des pwètrês, longues pièces de bois, sur lesquelles ils les poussent prudemment, Pour les faire avancer sur le wagon, ils les prindèt à tckoke, c’est-à-dire introduisent l’indê (court levier) sons le bloc et le traînent de cette manière. Les chargeurs font reposer les morceaux chargés sur du feuillage et sur du branchage de sapins pour pallier aux chocs du transport. Is cayetèt lès pîres (ils calent les pierres). Lorsque la pierre part sur charrette, le tchèsson (charretier) amène son véhicule, le laisse sur le chantier et le reprend le soir. On repose les brancards sur une gade («chèvre » : tréteau) pour faciliter l’embarquement. Le granit vogue vers sa nouvelle destinée.
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Jean-Pierre Ducastelle, La taille de la pierre au pays d’Ath, in: Loyin, 1, 1979, p.45
Le village de Maffle est situé à trois kilomètres du centre de la Ville d’Ath à laquelle il est rattaché depuis la fusion des communes. La pierre extraite ici est le “petit granit”, c’est-à-dire une roche calcaire de couleur bleue, d’origine sédimentaire, constituée essentiellement de débris organiques orientés en tous sens. Elle est disposée en bancs superposés d’épaisseur et de qualité variables. Cette roche servait principalement à la taille en vue de la construction ou de la sculpture. Elle était utilisée aussi pour la fabrication de pavés ou pour la production de la chaux. Elle est toujours exploitée dans la région de Soignies-Ecaussinnes (en Hainaut) et dans la vallée de la Meuse (provinces de Namur et de Liège). La pierre de Maffle était exploitée depuis le moyen âge. L’extension des carrières date surtout de la période industrielle depuis l’introduction de la machine à vapeur (fin XVIIIème siècle) qui a permis l’épuisement de l’eau et l’extraction des bancs inférieurs. Deux carrières (Rivière et la Dendre) et quelques chantiers de taille (Gain-Bougard, Casterman) ont occupé jusqu’à 650 ouvriers à la veille de la guerre de 1914-18. Depuis 1964, l’extraction a cessé. Il subsiste un chantier de taille et une marbrerie, le personnel occupé se réduit à quelques dizaines d’ouvriers. Le travail que nous avons présenté avec deux ouvriers tailleurs de pierre retraités (Henri Hainaut et Maurice Dobchies) a un intérêt au point de vue technologique et linguistique. Partant d’une pierre brute, ils ont réalisé sa taille sur une ou plusieurs faces. Ils ont expliqué en picard de la région d’Ath leurs techniques de travail et l’utilisation de leurs outils. Nous avons vu ainsi dégauchir la pierre, la “sbatte”, la “spier”, la “boucharder” et la ciseler. Ils ont utilisé d’anciens outils en acier qui pour la circonstance avaient été forgés et remis en état. Ils se sont servis des maillets, des masses ou des bouchardes aussi bien que des pointes, des “masses d’amor’, des ciselets ou des taillants. Chaque étape du travail nous rapproche de la pierre taillée et façonnée. Les “fers” sont aiguisés sur un grès comme autrefois. Les auditeurs ont été invités à intervenir au cours du travail pour se faire expliquer tel ou tel aspect qui leur aurait échappé ou dont ils n’auraient pas compris la signification. Au point de vue méthodologique, cette opération a montré quelques éléments d’une recherche en vue d’une étude philologique du picard des ouvriers carriers de Maffle. D’une façon.plus large, une discussion a pu s’engager à partir de cet exemple sur les techniques d’enquête concernant un métier traditionnel. Le cours devait faciliter aussi des comparaisons avec la langue de Tournai, de Soignies ou du Nord de la France.
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Andenne, Floreffe: deux nouveaux ouvrages d’histoire locale, VA 12/02/1991
Il existait une école de tailleurs de pierre pour enfants à Namèche en 1905.
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Sprumont / Sprimont - one sicole di tayeûs d' pîre / une école de tailleurs de pierre
(s.r.)
2. Scrîjadjes / Littérature
in: André Elen, Images de Seilles, Landenne et Petit-Waret, PAC 1994, p.84
Li spinceû
Dizo l’teût di tôles ou di gngnès’, Â mitan mètou so deûs bwès, Èt qui chève a garantit s’ tièsse Dè l’ plève, dè solo, dès grusês, Li spinceû, li cou so ‘ne vîle plantche, A lès jambes sitindowes so s’ long, À tchoke, i lès c’hèdje èt lès candje Edwèrmowes è s’ lâdje pantalon.
D’ on hopê d’ pîre mètou sins cogne, Ci-chal aveut bin vite trové Li mwèlon qui c’touméve d’ ène pogne. So l’ timps qui l’ aute hatchîve li pavé, Ciète, li, spinceû féve tot l’ ovrèdje, Mins sès-ouys avît tos lès dreûts, Dismètant qu’ i fève ses tèyèdjes, L’ ustèye djouwète divins ses deûts.
Li spinceû qu’ ovréve cisse mâle pîre, Payéve tchîr çou qu’ ‘l aveû-st-apris, Si l’ martê voléve li poûssîre, D’ on tot djon.ne i sèreût maudit. Cisse poûssîre, po tote riknohance, Quitèt hîve si coûr, sès poûmons.
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Jules Claskin (1886-1926), in: Maurice Piron, Anthologie de la littérature wallonne, éd. Pierre Mardaga, 1979
Dizos l’ ovreû d’ on tèyeû d’ pîres… (Sous l’auvent d’un tailleur de pierres…)
Dizos l’ ovreû d’on tèyeû d’ pîres — in-abatou, on teûtê d’ panes monté so pîces —, sins l’ ome qu’ oûveûre là, vos-årîz ‘ne gote pawou 4 come d’ èsse tot fî seû d’vins ‘ne èglîse.
Mins l’ ovrî bouhe; on ôt toketer s’ hèrpê. Åtoû d’ lu, lès creûs d’ pîre si drèssèt hår èt hote come ine porcèssion qui s’ disfêt.
8 Sûremint qui l’ tèyeû d’ pîres a dès-ôtès-îdêyes, dji l’ ô qu’ i gruzinêye tot sûvant l’ êr avou sès côps d’ mahote : on côp chal, on côp là, come s’ i d’néve ine rawète… 12 Tot sûvant ‘ne êr di danse qui l’ aveut fêt danser, l’ ome markéye lès treûs lètes : R. I. P. (p.429) Mins l’ tèyeû d’ pîres a dispindou s’ frake èt s’ canote 16 qu’ ine creûs t’néve à reûd brès’ podri lu. Èt volà l’ ome rèvôye. On n’ l’ aurè pus.
Asteûre qu’ i fêt bin påhûle è l’ ovreû, on n’ sint portant nole disseûlance inte di lès creûs. 20 On dîreût qu’ cès pîres-là covrèt dèdjà ‘ne saquî, ine åme ou l’ ôte… Såreût-on dîre ? Tinez, si dji m’ hoûtéve, dji freû ‘ne priyîre…
Awè… mins po quî ?
Vocabulaire: 1. abatou, appentis. 2. un auvent de tuiles monté sur perches. — 3. … vous auriez un rien peur. 5. Mais l’ouvrier frappe : on entend les coups de son ciseau. — 6. se dressent ça et là. 9. gruziner, fredonner. — 10. mahote, gros marteau. — 11. rawète, chose que l’on donne de surcroît, par-dessus le marché.
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Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire).