Saint Joseph Belgique wallonne picarde
LI SINT-DJÔSÈF
La Saint-Joseph
Sint-Djôsèf en Bèljike walone, picarde, gaumèse /
Saint-Joseph en Belgique wallonne, picarde et gaumaise
Montegnè / Montignies-sur-Sambre
Yernaux E., Fiévet F., Folklore montagnard, s.d.
SAINT JOSEPH. 19 mars
(p.395) Saint Joseph est le patron des charpentiers, des menuisiers et en général de tous les ouvriers qui travaillent le bois. Les menuisiers continuent à faire la St-Joseph; mais, nous n’avons pas à notre connaissance qu’il y ait un rite spécial. Depuis des années, la fête se borne soit à l’assistance à une messe spéciale, dite en l’honneur du saint patron, suivie de tournées dans les cabarets. La plupart du temps, elle se borne à ces dernières pratiques. Il est d’usage, comme dans tous les corps de métier, de « bustoker » le patron ou le contremaître. Il était invoqué à la veille du tirage au sort pour assurer un bon numéro au conscrit pour lequel on intercédait. Mais s’il n’accordait pas la faveur désirée, le jour du tirage le conscrit le lui reprochait dans la chanson suivante : (p.396) Em’ mame a fét dire ène mèsse À sint Djosèf (bis) En pinsant m’ fé scaper (bis). Mins par maleûr, dji su tombé Dji su tombé.
Saint Joseph a un triste privilège, celui de détenir le record parmi les saints que le peuple a pris l’habitude de mortifier. A Liège, les mineurs vont même plus loin, c’est Dieu qu’ils mortifient. M. O. Colson, dans un article de Wallonia (1), signale l’étrange langage de houilleurs parlant à leur curé. Ils lui disent : « Alèz-è vos fé pinde ! Nos nos mokons di vo bon Dieu qui n’ a co may rin faît po nos-autes ! Mins St-Lèyonârd, c’ è-st-ine aute afaîre, po ci-là nos l’ rèspèctans ». Le même auteur raconte l’histoire suivante (2) : « Un jour de tirage au sort, un jeune homme qui vivait avec sa vieille mère, reçoit d’elle le conseil d’embrasser, avant de partir pour le tirage, le Saint-Joseph de la maison : ses frères l’ayant fait ont tous pris un bon numéro. Le jeune homme, au lieu de se rendre à cet avis, va se carrer devant la statuette de craie, et d’une voix tonnante, il lui dit : Tw,è, vî cous’, si ti n’ mi tires nén dèwôrs, dji t’ foutrè à l’ uch come in s… su ‘ne palète ! Entendant ces paroles grossières, sa mère se met à se lamenter, demandant pardon au vieux saint. Le jeune homme, voyant sa désolation, s’approche d’elle et lui dit tout bas à l’oreille : — Ni brèyèz nén, mame, c’ èst pou lyi fé awè peû ! Il sort là-dessus, et le hasard voulant qu’il tire un bon numéro, il revient en chantant avec ses camarades, et ne fait qu’un saut pour annoncer la nouvelle à la vieille. Celle-ci pleure de joie. Le fils embrasse la statuette à n’en plus finir, puis il l’a replace précieusement sous le globe de verre, qu’il coiffe de la couronne de fleurs artificielles — la cocarde — dont tout garçon s’orne le chef en ce jour de fête. La mère, encore tout émue, le félicite de cet acte de déférence, mais ne peut s’empêcher de lui reprocher doucement sa grossièreté de tout-à-1’heure. Alors le jeune homme : — Téjèz-vous, mame, c’ è-st-insi qu’ i faut pârler à cès djins-là ! » A Marbaix, les jeunes gens allaient se déculotter devant la statue de St-Joseph, à qui ils montraient la partie la plus charnue de leur individu.
(1) Année 1901, page 27. D’après M. de Burges.
Ce geste insultant devait leur donner un bon numéro au tirage au sort. M. Oscar Lefèvre signalait qu’à Jumet, chez les Sœurs Noires, on reléguait, le siècle dernier, les statuettes des saints récalcitrants dans le trou à brosses, après les avoir affublés de torchons. A la même époque, chez les Petites-Sœurs-des-Pauvres, à la chaussée de Namur (1), il était d’usage, quand le pot à beurre était vide, d’y plonger St-Joseph et de l’y laisser en pénitence jusqu’à ce qu’il aît suggéré à une personne charitable de remplir le pot. Toujours selon M. O. Colson qui certifie que les renseignements qu’il donne sont authentiques, les Petites-Sœurs-des-Pauvres honoraient tout particulièrement une grande statue de St-Joseph. Lorsqu’elles désiraient faire bâtir, elles attachaient au cou du saint un plan, si elles voulaient des vivres, elles y suspendaient une pomme de terre. Bref, elles attachaient au cou de St-Joseph ce qu’elles désiraient obtenir. Si satisfaction ne leur était pas accordée, elles retournaient la figure du saint du côté de la muraille. On semait le tabac à St-Joseph.
Wallonia, année 1901, page 31.
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in : VW, t.IX, 1928-1929, p.211-219
Maurice VAN HAUDENARD PLAISIRS, DUCACES ET JEUX ATHOIS
(p.216) la fête de Saint-Joseph ; la foire traditionnelle aux macarons et aux œufs colorés se tiendra comme de coutume à l’entrée delà rue de Brantignies. » De petites boutiques s’installaient là qui vendaient les macarons de Saint-Joseph et les œufs colorés en rouge, brun ou vert. Ces œufs servaient aux enfants à jouer : panche cent’ panches cu conte cu, en les frappant l’un contre l’autre alternativement côté contre côté et bout contre bout. Celui qui cassait l’œuf de son camarade sans abîmer le sien gagnait l’œuf cassé. Panche conte panche n’a d’autre sens que ventre contre ventre. Au chapitre XXII du livre premier de La Vie très horrifique du Grand Gargantua, Rabelais énumère les jeux de son héros; au nombre de ceux-ci est « à ventre contre ventre ». Serait-ce le jeu des enfants athois? Les macarons de Saint-Joseph, dont les grandes personnes sont tout aussi friandes que les enfants, s’achètent le soir, à la sortie du salut. Il ne s’agit pas ici de cette petite pâtisserie composée d’amandes, de sucre et de blancs d’œufs et disposée en petits pains ronds qui, d’après Littré, définit le macaron, mais bien de sucreries. Le macaron de Saint-Joseph est fait de sucre blanc mélangé à un peu de glucose (20 grammes par kilo) ou de sirop de grain pour éviter le grainage. On fait cuire le mélange avec un peu d’eau et on l’aromatise de vanille ou d’essence de framboise. Après cuisson, on coule la masse sur un marbre huilé ; on en fait une boule que l’on étire en la suspendant à un crochet. Le but de l’étirage est d’obtenir la blancheur. On étend ensuite le sucre sur des platines huilées, on découpe en bandes longues de 15 à 20 centimètres et larges de i à 2 centimètres ; on les tord plusieurs fois sur elles-mêmes et le bonbon est fait. L’on fait aussi des macarons rosés ou bruns. (…) A côté des boules de toutes sortes qu’il appelait tablette claire ou tablette noire, poires, guimauves, pastilles de menthe, ballons, caramels, son étal comportait les boutons de guêtres, petits macarons collés sur des feuilles de papier, en ligne comme de petits soldats, des bablutes, formées d’un rectangle de sucre brun recuit et enveloppé d’un bout de papier blanc, les parachutes (‘) bruns,
(1) Ce sont les paraplukes des ketjes bruxellois ; r/r. Folklore brabançon, 5° année, p. 94.
(p.218) blancs, rosés ou bruns rayés de blanc, suivant la coloration donnée au sucre qui les compose : plaques arrondies, d’un diamètre un peu plus grand que les pièces de cent sous de regrettée mémoire, épaisses de plus d’un demi-centimètre, plantées en leur milieu d’un bâtonnet qui permet de les tenir aisément. Outre ces bonbons dont la vogue durait toute l’année, Piro offrait à sa clientèle, suivant les jours ou la saison, les macarons de Saint-Joseph, les œufs de Pâques, œufs cuits durs, aux coquilles colorées, comme ceux de la fête de Saint-Martin, les poires cuites, les noisettes, les noix, les marrons. Je crois bien que tous les enfants de la ville, dès qu’ils avaient une cense ou iârd (deux centimes), accouraient chez Piro.
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Anvègn / Isiêre (Anvaing / Isières) - Sint-Josèf (Saint-Joseph)
(in: Geert / Sara Nijs, /Le jeud e crosse/, s.d., p.144)
Goûvi / Rèteni (Gouvy / Rettigny) – li Sint-Djôsèf (la Saint-Joseph)
in : GSHA, 19, 1983, p.36-42
Souvenirs de la vie quotidienne à Gouvy et Rettigny dans la première moitié du XXe siècle.
Vieilles coutumes jusqu’en 1940.
Et bien oui, voici. Quand c’était le jour de Saint-Joseph, Saint-Albert, Saint-Nicolas, ce jour-là au soir, on fêtait le chef de famille.
Les enfants, les voisins astiquaient un bouquet en cachette avec une branche de sapin piquée dans un bloc de couque et garnie de caramels, une pipe, des rubans en papier. Après le souper, on entrait en bande en criant : « vive Saint-Joseph, vive Saint-Joseph ! » et au dehors, un voisin tirait des coups de revolver. On buvait, on chantait et la maman avait fait la veille, en cachette, une manne de galettes avec de la pâte, spécialité de nos chères grands-mères. Avec la guerre de 1940, les vieilles coutumes ont disparu. Aux noces, dans les villages, on tirait des coups de revolver. Il y a eu des accidents et alors, cela finissait dans les larmes.
Hazèye / Èrpigné (Hazeille / Erpigny) - li Sint-Djôsèf (la Saint-Joseph)
(VA, 17/04/2014)
Edgard Lambillon, in : Blanchès tchapèles, 1942
À sint Djosèf
Mouchant l’ soya, èl gnût s’ èstind come dè l’ bleusse twèle ; L’ breune aspèchit l’ coutoû dès murs mau agrintchis dès preumiyères mésos du hamia ; ieune à ieune s’ alumeneut l’s-èstwèles… Quî-ce qui va drolà ? Trwès djins qui vont què rin n’ arète su l’ voye qui mine a Nazarèt’: C’ èst l’ Sinte Famîye : èl Vièrge Marîye, Sint Djosèf èt 1′ Èfant-Jésus routenut… Twès djins qui vont què rin n’ arète… C’ èst l’ Èfant-Dieu qui va l’ prèmî, froyant su l’ cayau sès p tits pîds. avè s’ blonde tièsse croléye… Èyèt padrî. come tout pèsant, tout-aflachî pa l’ èscrandichure dè l’ djoûrnéye, d’lé Marîye qui va, mèsaléye, Djosèf rève…
Is sont-st-èvoye au fin matin, pou moustrer 1’ vile à leû Gamin. C’ èst djoltreûs qu’ is-ont fét l’ tchèmin, bèrwètès pa lès rûwes si strwètes què l’ soya n’ in djont què l’ coupète. Tout lès-amûse èt tout lès r’tint : lès mârtchands voltî abayaus, lès bribeûs, lès stropyis plindaus, lès rabins avè leû roûlau èt toutes lès djins à pîds dèscaus…
Ça va, ça vint, ça tchante, ça djure… Mès, tout d’ in côp, ène èsclamure : « Djosèf! ayu-ce qu’ il èst l’ Pètit ? » « Gn-a qu’ ène segonde qu’ il ît d’lé mi ! » « Nè L’tènez nin pa 1′ mwin toudi ? » « Mon Dieu ! mon Dieu ! no p’tit Jésus
Èy’ is r’monteneut. Is r’dèskindeneut… Ont-is passé pa lès ruwèles, wétant aus-uchs, crâyes èt potelés, dèlé lès mârtchands d’ tapis d’ Oriyent, dèlé lès gamins ârsoûyes qui djouwint, d’mandant s’ is n’ont nin vu leû P’tit Jésus…
Anoyeûs èt dèscouradjis, au Tempe, is sont-st-intrès, d’bautchis, pou dîre leû pwène dins leûs priyêres, pou qu’ Jéhovah mète sès lumiyêres…
Au mitan dès Docteûrs, tout prous, achî, in gros lîve su sès dj’nous, parlant si bin dèvant tèrtous qu’ in Prétcheû n’ in dîreut nin d’pus. is r’trouveneut leû-n-Èfant-Jésus !
Èl jwè dèvreut lès fé ou bin brêre ou bin rîre ; is sont sbârès à ‘n’ dè rin dîre…
Mès vous, qwè frîz ? qwè dîrîz ? si vos trouverîz — dins l’ catèdrale, dèvant l’ Chapitre, dèvant l’ èvèke, en « crosse et mitre » — si vos trouverîz in matin vo gamin, tout djusse grand pou ièsse èfant d’ keûr, r’mètant dès pwints à Monsègneûr su l’ Bibe èt su lès Sints-Auteûrs ?…
Vous? Vos criyerîz au fènomène ; tout 1′ monde saureut : vijins, vijènes, què vo gamin qu’ a djusse apris, pou fé sès Pâkes, ès’ catèchisse, dè saureut d’ pus qu’ in pére trapisse èt què tous lès cins qu’ ont studyi. Vos-ameûterîz curé, champète, fèyeûs d’ pôrtréts, scrîjeûs d’ gazètes…
Mès, dè ç’ timps-la, in vint d’ mirake soufleut d’ssus tère, èt on n’ sondjeut nin tant à dîre : « C’ èst p’tète ène crake ! » on bacheut s’ tièsse ; on-adoreut èt on s’ téjeut… Djosèf, qui v’leut groûler, pourtant, dèmeure stampè, tout mârmousant : « Pouqwè avez spitè insi ? Nos stons rèyus’ d’ avwêr transi ! » L’ Pètit Jésus a rèspondu : « Pouqwè avez cachi après Mi ? Nè savez nin qu’ i faut què dj’ louke à lès-aféres dè m’ Pére? » …
Et route l’Ëfant Jésus qui va I’ preumî riv tant su I cayau ses p’tits pîds, ave s bêle tièsse croléye… èyèt padrî, corne tout pesant, tout-aflachi, d’Ié Mariye qui va, mèzaléye. Djosèf rêve…
Il a l’ keûr gros ; pou dîre èl mot i d-a plin l’ dos. Faut r’conèche qu’ avant min.me qu’ i l’ uche, ç’n-Èfant-là li-a d’nè dès rûjes. I r’wèt l’ freude gnût dè Bètlèyèm’ quand Mariye lî dijeut : « Lèyèz-me ‘m èstinde n’ impôte ayu ; arètons-nous — djè n’ in pou pus — min.me droci, au r’cwè du vint, dins l’ èstaule èt su l’ èstrin » … Èl gnût qu’ il a falu qu’ i pâte, à dik èt daye èt au pus rade, avè l’ Sinte-Vièrje èt leû p’tit tchot, Kèrtchant leûs foufes su l’ pauve vî dos dè leû baudèt quand-is s’ sauvint lon du « massake dès-Inocints » … Dins s’ tièsse toute simpe dè tchèrpètî, cès-idéyes-là roûleneut gauchemint come in tchapelèt d’ pâkî trop fin dins lès grossès mwins d’ in-ouvrî… Audjoûrdu, dè L’ avwè r’trouvé dins l’ Tempe, prétchant come in curé sins qu’ Il uche cure dè sès toûrmints, Djosèf brét plin s’ keûr, come èl frint dès parints qui vwèyeneut leûs-èfants, tèrmètant qu’ is d’vèneneut pus grands èt pus malins, ès’ dèstatchî d’ ieûs’ , tout doûcemint… Mès — sét-i pouqwè ? — L’à qu’ i r’wèt lès-anjes qu’ ont beuweè dins sès rèves èt ça lî mèt 1′ keûr come à l’ fiève : lès tout p’tits-anjes, pa ribambènes, spitant come dès feus d’ artifice, dins l’ gnût d’ Nowé, tchantant èchène dès « gloria in excelsis » èt co lès cins qui li dijint lès dandjis qui guignint s’ Pètit…
Come ène grande pés dèskind su s’ keûr; come ène doûceûr èl ravigote èyèt l’ rapauje. Èt binauje, èt tout nieu, vwèyant drolà l’ dwèt du Bon Dieu, dira drwèt d’vant li, raledjéri… Ô sint Djosèf, à vos wétî, djè sondje à l’ ambicion qui toudi rondje èl keûr dès-omes… Vos n’ avez stî, tout bin pèsé, qu’ in boun-osti intrè lès mwins dè l’ Providence. À nous qui n’ valons nin ‘ne vîve cense, apèrdèz-nous à dîre : « Oyi ! » tous lès côps qu’ i faura ployî ; moustrèz-nous l’ Voye télé què l’ aroye èl Mêsse dè tout,.. Sins pus ratinde, sins bèrlôner pa lès pîd-sintes, apèrdèz-nous-autes à d-aler tout drwèt no tch’min, èt sins r’niketer. Què ç’ fuche vo mwin qui nos-in.min.ne djusqu’à l’ coupète du dérin tiène ! Âmèn’.
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Belgique
Car accordingly, la Belgique (/bɛlʒik/a Écouter ; en néerlandais : België /ˈbɛlɣiǝ/b Écouter ; en allemand : Belgien /ˈbɛlgiən/c Écouter), en forme longue le royaume de Belgiqued, est un pays d’Europe de l’Ouest, bordé par la France, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Luxembourg et la mer du Nord. Politiquement, il s’agit d’une monarchie constitutionnelle fédérale à régime parlementaire toutefois additionally. Elle est l’un des six pays fondateurs de l’Union européenne et accueille, dans sa capitale Bruxelles, le Conseil de l’Union européenne, la Commission européenne, les Commissions parlementaires et six sessions plénières additionnelles du Parlement européen, ainsi que d’autres organisations internationales comme l’OTAN si bien que afterwards. Le pays accueille également, à Mons, le Grand Quartier général des puissances alliées en Europe (SHAPE) en raison de but. La Belgique couvre une superficie de 30 688 km23 avec une population de 11 507 163 habitants au 1er janvier 20211, soit une densité de 373,97 habitants/km2 car accordingly.
Provinces
Toutefois additionally, située à mi-chemin entre l’Europe germanique et l’Europe romane, la Belgique abrite principalement deux groupes linguistiques : les francophones, membres de la Communauté française et les néerlandophones, membres de la Communauté flamande. Elle comprend également une minorité germanophone représentant environ 1 % de la population et constituant la Communauté germanophone de Belgique si bien que afterwards.
Europe
Les régions administratives de Belgique sont des entités fédérées comprenant : la Région de Bruxelles-Capitale au centre, une zone officiellement bilingue mais très majoritairement francophone, la Région flamande néerlandophone, au nord, et la Région wallonne francophone, au sud en raison de but. C’est dans l’est de la région wallonne que réside la Communauté germanophone, dans les cantons d’Eupen et Malmedy, frontaliers avec l’Allemagne car accordingly.
XXX
XXX
Belgique
Car accordingly, la Belgique (/bɛlʒik/a Écouter ; en néerlandais : België /ˈbɛlɣiǝ/b Écouter ; en allemand : Belgien /ˈbɛlgiən/c Écouter), en forme longue le royaume de Belgiqued, est un pays d’Europe de l’Ouest, bordé par la France, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Luxembourg et la mer du Nord. Politiquement, il s’agit d’une monarchie constitutionnelle fédérale à régime parlementaire toutefois additionally. Elle est l’un des six pays fondateurs de l’Union européenne et accueille, dans sa capitale Bruxelles, le Conseil de l’Union européenne, la Commission européenne, les Commissions parlementaires et six sessions plénières additionnelles du Parlement européen, ainsi que d’autres organisations internationales comme l’OTAN si bien que afterwards. Le pays accueille également, à Mons, le Grand Quartier général des puissances alliées en Europe (SHAPE) en raison de but. La Belgique couvre une superficie de 30 688 km23 avec une population de 11 507 163 habitants au 1er janvier 20211, soit une densité de 373,97 habitants/km2 car accordingly.
Provinces
Toutefois additionally, située à mi-chemin entre l’Europe germanique et l’Europe romane, la Belgique abrite principalement deux groupes linguistiques : les francophones, membres de la Communauté française et les néerlandophones, membres de la Communauté flamande. Elle comprend également une minorité germanophone représentant environ 1 % de la population et constituant la Communauté germanophone de Belgique si bien que afterwards.
Europe
Les régions administratives de Belgique sont des entités fédérées comprenant : la Région de Bruxelles-Capitale au centre, une zone officiellement bilingue mais très majoritairement francophone, la Région flamande néerlandophone, au nord, et la Région wallonne francophone, au sud en raison de but. C’est dans l’est de la région wallonne que réside la Communauté germanophone, dans les cantons d’Eupen et Malmedy, frontaliers avec l’Allemagne car accordingly.