chansons wallon bébés enfants
TCHANSONS
Chansons
150 TCHANSONS PO LÈS BÉBÉS ÈT LÈS P’TITS-ÈFANTS
150 chansons pour les bébés et les petits enfants en langue wallonne
Plan
1. Bêrceûses – Berceuses
Endormir l’enfant, quel doux souci pour la maman ! Pour y arriver, elle le berce dans les bras ou dins l’ bêrce en chantant des berceuses, qui sont venues jusqu’à nous à travers les siècles : ces vieilles berceuses ressuscitent à chaque naissance, dans tous les foyers, comme un message de joies et de promesses. Faisons-les renaître à notre tour.
(E. Yernaux, F. Fiévet, Folklore montagnard, s.d.)
1.1 Nînan ninète
1 Nan nan ninète, …
2 Roum dou doum, Colas Robin, …
3 Dôdô, pètit cambèrlot, …
Nan.nan ninète ! (CW)
Le thème est une invitation à dormir avec promesse d’une friandise à rapporter du bois où la mère va s’ approvisionner en matériau de chauffage. Curieux qu’il s’agisse ici d’un porcelet : réduit, par une comparaison originale, ce porcelet ne peut être qu’un bonbon en forme de cochon.
Dès lors, la promesse devient incohérente. Le plus souvent, la mère promet un tètè “sein”, “biberon”, gros comme la tête d’un porcelet : tel est le cas à Saint-Hubert, Ferrières, Wanne, La Roche, Soy-lez-Marche, Bierwart ; la comparaison devient plus ironique encore si elle porte non sur la tête, mais sur un petit porcelet tout entier, comme dans la vallée de 1’Amblève, à Liège, Herstal, Vottem, Avennes, Villers-aux-Tours, Franc-Waret ou Landenne-sur-Meuse, Fosses-la-Ville; – sur un porcelet simplement à Liège, Andenne, Seilles; – sur un gros porcelet à La Roche, Glimes, Grez- Doiceau, Jodoigne, Huppaye. Au lieu de cossèt (cachèt en Brabant ; couchèt à Andenne, Seilles, Fosses), on a parfois mayèt “porc châtré” à Liège et Pécrot-Chaussée.
A Liège, on a noté une fois hotchèt ” boulet de menue houille » par altération. A Steinbach-Limerlé, autrefois, On trouvait la queue du cochonnet dans une notation de Li Pèron, 1, 1894, 7, p. 4, due à Théodore Schoumacher, né en 1871, lequel tenait la berceuse de sa grand-mère maternelle :
Dôdô, pâpâ Djèdjè !
Vosse mouman è-st-èvouye è bwès.
Qwand ‘le rivinrè,
Èle vis rapwètrè
On bê gros tètè
Come li quowe di nosse cossèt.
On voit que la queue du chat de la notation du recueil n’est qu’une variante plus récente de la queue du cochon du XIXe siècle.
A Verviers le tètè est un nènè ; à Liège et en d’autres endroits, la berceuse est contaminée par un regret que l’on retrouve en d’autres textes :
Lès cawiês d’avâ lès tchamps,
Qu’ n’ èst-ce dès mitches èt dè blanc pan
Po noûri mi p’tit èfant
Mês nin lès grands !
(Les cailloux parsemant les champs, / Que ne sont-ils des miches et du pain blanc / Pour nourrir mon petit enfant / Mais non les grands !)
(Roger Pinon)
(E. Closson, Chansons populaires des provinces belges, vol. 1)
(Bulletin de la Société Royale le Vieux Liège, 231, 1985)
(Bulletin de la Société Royale Le Vieux Liège, 232-233, 1986)
Joseph Defrecheux, Enfantines de Wallonie, s.r., p.6-17
Dô, dô minète
L’ èfant da Janète,
Qui n ‘aveût nin co in-an
Qui brèyève papa, moman.
(Do, do Minette / L’enfant de Jeannette, / Qui n’avait pas encore un an / Qui criait papa, maman.)
Les enfantines liégeoises, d’après Joseph Defrêcheux in : La Wallonne, 4, 2006
Ni-non ni-nète, pâ-pâ Djè-djète,
Vosse mou-man èst voye o bwès.
Qu’ èst-ce qu’ èle vis ra-pwa-trè ?
On bê p’tit cos-sèt
Nin pus gros qui l’ quawe do tchèt.
Les enfantines liégeoises, d’après Joseph Defrêcheux, in : La Wallonne 3/2006 (suite)
Nan.nez, nan.nez, p’tit chou,
Fez nan.nane, fez nan.nane.
Nan.nez, nan.nez, p’tit chou,
Fez nan.nane, n’ a rin d’ si doûs.
Nan.nez, nan.ninète,
Papa nikète,
Vosse mère è-st-â bwès,
Qwand-èle rivinrè,
Èle vos rapwèterè
Ine grosse tète
Come on cossèt.
(Wallonia, 634, 1895)
(Wallonia, 646, 1895)
Abèye, l' èfant ! (Vite, l'enfant) (EW)
Nan.nez (EW)
E. Yernaux, F. Fiévet, Folklore montagnard, s.d. (OW)
(p.19) Nan-nan, ninète.
Bêle, ô Babète
Yù-ce qu’ èlle est, bèbète ?
Èlle èst-au fond di no courti
Èle ramasse dès puns pouris
Pou qui ?
Pou no p’tit fifis.
***
Nan-nan, no p’tit kimbèrlot
Ès’ mamére è-st-èvoye au bos
Ramasser des skètes di bos
Pou r’tchaufer no p’tit kimbèrlot.
***
Quand l’enfant fermait les yeux, pris par le sommeil, on disait « L’ martchand d’ sâbe va passer ».
Cette expression est employée un peu partout en Wallonie, avec des variantes. A Liège, on dit « l’ ome à poûssîres » (l’homme à poussières). Mais elle est employée dans les mêmes circonstances, avec les mêmes intentions qu’à Montignies. On pourra en juger par l’extrait suivant, dû à la plume du talentueux folkloriste liégeois Oscar Colson :
« Le marchand de poussières est un vieil homme que le bon Dieu envoie pour rechercher les enfants qui ne vont pas au lit très tôt, et pour les mettre à la raison.
(p.20) » Chaque soir, dès que la nuit s’étend, le vilain homme se met en route avec sa brouette — car c’est là-dedans qu’il voiture ses poussières et, comme vous le voyez bien, il y en a pour tout le monde.
» Il passe dans toutes les rues et chaque fois qu’il aperçoit de la lumière, il vient voir là sans qu’on s’en doute ; s’il y a des enfants, il jette, par la fenêtre ou par on ne sait où, des poignées de poussières qui s’en vont tomber droit dans les yeux, et c’est ça qui les fait picoter. Aussi, quand, à la soirée, les mioches éparpillés dans la chambrette entendent le roulement d’une brouette sur le sol dur, ils relèvent brusquement la tête et courent vite s’enfouir dans les girons protecteurs, non sans fermer les yeux, pour plus de sûreté, jusqu’à ce qu’on entende plus rien.
» Or la nuit se fait noire, l’heure avance et l’on aura beau faire, les paupières s’alourdissent, les mains deviennent molles, les jouets sont rétifs et peut-être, ils finissent bien par être las aussi.
» Bref, un à un, l’on s’en vient au foyer, on prend place, et au doux bercement de la flamme qui danse, les yeux se fatiguent et l’on ne tarde pas à s’abandonner pour de bon. Que voulez-vous ? Les grands eux-mêmes ne peuvent s’empêcher de regarder en-dedans et à laisser tomber le menton sur la conscience.
» Tout à coup, brusquement, la mère se lève et ma foi, nul ne proteste. On le sent bien : c’est fini la veillée, il faut aller dormir.
» L’homme à poussières vient de passer ».
(OW)
in: Willy Bal, Aline (adapt. / de Ramuz), Micromania, 1998 (OW)
(p.70) Nan.nan, Ninète,
Racachèz Bârbète,
Bârbète qui n’ èst nin ci.
Èlle è-st-au fond d’ no pachî.
Qu’ èle ramasse dès puns poûris
Dès nochètes trawéyes,
Dès gâyes toutes tchamousséyes
Pou s’ pètit fifis.
(Gaume, EW, OW)
Josée Spinosa (Flipevile (Philippeville)) - Bèrceûse (OW)
(in: Chîje èt Paskéyes, 1327, 01/02/1972)
Une vieille berceuse à Mont-sur-Marchienne, in: EB, 319, 1979
Reçue de M. et Mme Bayot, acteurs du Cercle wallon de Mont-sur-Marchienne, cette variante d’une berceuse que chantait leur grand-mère.
Nono, Ninète,
Racachèz m’ pouyète.
Pouyète qui n’ èst nin ci.
Ayu-ce qu’ èlle est ?
Èlle è-st-au fond du pachis.
Qwè-ce qu’ èle fét là ?
Èle ramasse dès puns poûris.
Dès gâyes tchamousséyes.
Dès nojètes toutes trawéyes
Pou stouper no p’tite rawéye.
Nan.nan ninète... (OW)
Les berceuses, in : MA, 9, 1976, p.165 (OW)
La berceuse ci-après est valable pour Soignies. Elle est extraite de L. Delferière, Enquête linguistique sur le patois de Soignies à l’époque actuelle, Thèse de doctorat, Université Catholique de Louvain, 1927. Elle complète la série de berceuses publiées dans notre revue de avril 1965, p. 68; juin 1965 p. 113; mai 1969, pp. 44-47; juin 1968, pp. 118-119; septembre 1969 p. 164.
pour un petit garçon :
Dôdô pètit cambèrlot,
vo mamére èst daléye au bos,
quand-ce qu’ èle èrvéra ?
Dèmin après grand mèsse,
quô-ce qu’ èle raportera ?
Dès gayes èt dès nojètes,
yù-ce qu’ èle les mètra ?
Dèssus l’ oupète deu Djan,
sint Djan avû ‘s-n-agna,
sint-Antwane avû ‘s pourcia,
sinte Marîye avû ‘s brasserîye,
sint Michèl avû ‘s-n-èskwèle,
Notre-Dame avû ‘s brasséye,
qu’ il imbrasse tous sès ptits-èfants,
di sus dalé mète èm’ min au plat,
is m’ ont doné dè l’ busse.
pour une petite fille:
Nan.nan Ninète,
alez cachî Barbète,
Barbète, èle n’ èst ni ci,
èle est daléye su no pachis,
Racachèz Barbète (OW)
(Roger Pinon, Ainsi chantait le pays de l’Ourthe, Coll. Mémoire, 1996) (SW)
Roger Pinon, Le folklore poético-musical de la Basse-Semois, in : Terres d’Herbeumont à Orchimont, 12, 1986, p.25-32
(SW)
Documents recueillis, presque tous par Marcel Pignolet, en avril 1973.
(p.27) Une berceuse d’Etalle commence par “Dôdô, pâpâ minète !”
Berceuse de Nafraiture : Dôdô, papa Ninète ! Va coutchî, Babète !
(Dodo, poupard Ninette ! – Va coucher, Barbette !)
A cette invitation à aller dormir, il faut ajouter une autre invitation, à dormir dans le berceau, qui vaut pour Alle :
Dôdô, Ninète !
A la crinolète !
Autre, de Bouillon :
Nan.nan, dôdô, papa ! Faîs nan.nan !
“Dôdô, dôdoô, bébé ! – Faîs dôdô !” Notation de Roger Pinon vers 1950.
On répète d’une manière monotone cette phrase (et d’autres analogues) selon son inspiration, sur deux notes, par exemple sol fa.
Plus élaborée que ces berceuses est la suivante, de Bertrix :
Nan.nan, Ninète,
Ma p’tite pouyète !
Quand maman r’vinrè dou bwès,
Èlle aurè ène grosse boutèye
Come in p’tit couchèt !
(Dodo, petiote, – Ma petite poulette ! – Quand maman reviendra du bois, – Elle aura une grosse bouteille (de lait) – Comme un petit goret !)
(p.28) Marcel Pignolet nota en 1950 à Bouillon :
Nan.nan, sint Jan !
Si j’ avins tous lès p’tits-afants
D’avau lès tchamps,
J’ a-n-aurins plin in rêche, plin in van,
Plin la vane de Libéan”!
(Dodo, saint Jean ! – Si nous avions tous les petits enfants – Des champs, – Nous en aurions plein un grand tamis, plein un van, – Plein la vanne de Libéhan !)
Le terme “rêche” désigne un grand tamis d’1,50 m environ, aux côtés formés par des tringles de bois; il est suspendu à une poutre par 3 ou 4 chaînes. On s’en servait aussitôt le blé ou l’avoine battue pour séparer les grains des menues pailles. – Libéhan est un lieu-dit sur la Semois où était installé une sorte de barrage.
J’ai de cette berceuse une notation des Ardennes sans plus de précision obtenue par Oscar Colson avant 1914; une autre de Soy-lez-Marche dans “Li Marmite” du 11 août 1901; une troisième de Huppaye obtenue par Oscar Colson de M. Schépers; une quatrième de Paul Moureau pour Jodoigne dans “Le Folklore Brabançon“, X, 1932, p. 176.
La version la plus logique est celle de Soy :
…
– Gn-a dè grin plin on sètch, plin on van,
– Plin l’ èglîse di Sint-Dinan
– Po noûri 1′ mère èt l’èfant !
(Il y a du grain plein un sac, plein un van, / Plein l’église de Saint-Dinan / Pour nourrir la mère et l’enfant.)
La notation la plus proche de celle de Bouillon par sa formulation est celle des Ardennes, à laquelle j’ai emprunté 1’incipit manquant.
Dernière berceuse dialectale notée par Marcel Pignolet à Herbeumont en 1949 :
Dôdô ninète !
Ragassez Barbète
Barbète n’ èst ni si djinti,
Il èst au fond d’ note courti
Qu’ i ramasse dès peûmes pûris
Pour note peutit Henri !
(Dodo petiote ! – Renvoyez Barbette ! – Barbette n’est pas si gentil,(sic!) – II est au fond de notre jardin – (p.29) Qu’il ramasse des pommes pourries – Pour notre petit Henri !)
Dôdô-pâpâ ma ninète ... (SW)
Bèrceûses (SW, Gaume)
GAUME
in: Jules Massonnet, Lexique du patois gaumais de Chassepierre, 1974
(à la rubrique « bauchèle »)
Les mamans d’autrefois chantaient la berceuse suivante :
Roum’-dou-doum’, Colas Robin, Roum-dou-doum, Nicolas Robin,
vote tambour nu va-mi bin, votre tambour ne va pas bien,
vote bauchèle nu sét dansî, votre servante ne sait danser,
vote gachon n’ la sét mouner, votre garçon ne la sait mener,
vote pitit tchin la mounerè bin. votre petit chien la mènera bien.
(EW)
Roum doudoum, Colas Robin, Vosse tambour ni va nin bin ! Vosse mèskène ni sét danser, Vosse varlèt nèl sét k’miner Hay, djans ! on pô pus lon Nos troverons dès viêrts botons Po Madame dès Bourguignons.
Lès tchins tchèssèt, Lès poyes ponèt, Lès djônes fèyes si marièt Avou lès vîs valèts.
(Roum dou doum, Nicolas Robin, / Votre tambour ne va pas bien ! / Votre servante ne sait danser, / Votre valet ne sait la promener, / Allons ! un peu plus loin, / Nous trouverons des boutons verts / Pour Madame des Bourguignons. / Les chiens chassent, / Les poules pondent, / Les jeunes filles se marient / Avec les vieux garçons.)
|
(EW)
Roum doudoum, Colâs Robin, Vosse tambour nu va nin bin ! Vosse bâcèle nu sét danser, Vosse valèt nu l’ sét k’miner. Roule ta bosse, Colâs Robin, Trossez vos guètes èt mârchez vosse tchimin !
(Roum doudoum, Nicolas Robin, / Votre tambour ne va pas bien . / Votre fille ne sait danser, / Votre valet ne sait la promener. / Roule ta bosse, Nicolas Robin, / Troussez vos guêtres et marchez votre chemin !
Roum doudoum, Colâs Robin, Vosse tabour nu va nin bin ! Vosse bâcèle nu sét danser, Vosse valèt nu l’ sét k’miner.
Lès poyes ponèt, Lès tchins vèssèt, Lès djônès fèyes su marièt Èt lès djônes-omes corèt après Avou dès nâles âs rodjes bonèts.
Roum doudoum, Colas Robin, ti molin ni va nin bin ! I fâreût li fé raler Po après-dimin matin !
|
in: Josiane Godenne, Herman Minder, La poésie enfantine de Nassogne, in: EMVW, T157-160, 1975, p.299-351 (CW)
Dôdô pâpâ Djèdjète, Quand moman rivérè do bwès, Èle rapwaterè on gros tètè, (= biberon) Come li tièsse di nosse couchèt. (= cochon)
|
in : Yernaux E., Fiévet F., Folklore montagnard, s.d., p.19 (OW)
Douze eûres qui tapent Grand-mère qui grate. Deûs-eûres qui sonent Grand-mére qui grogne.
|
roumdoudoum, Colârd Oudin...
roumdoudoum, Colâs Robin...
Roumdoudoum, Colâs Robin...
(in: Roger Pinon, Ainsi chantait le pay sde l’Ourthe, Coll. Mémoire, 1996, p. 14-15)
roumdoudoum, so lu stokê...
(in: La nouvelle lyre malmédienne, 68, p.109)
Dôdô, mamêye ! (EW)
Dôdô, pètit cambèrlot ! (OW)
(Roger Pinon, in: El Bourdon d’ Châlèrwè, s.d.)
Faîs dôdô, m' pètit cambèrlot ! (OW)
2. Sauteuses
En cours
3. Amusettes
En cours
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Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire). Arlon (Arel en arlonais1 et en allemandn 1) est une ville francophone de Belgique située en Wallonie. Il s’agit du chef-lieu de la province belge de Luxembourg, elle est également chef-lieu de son arrondissement administratif. L’ancienneté de la ville remonte à la période gallo-romaine. La langue luxembourgeoise y a longtemps été traditionnelle2,3. La ville est aujourd’hui un grand centre administratif et commercial dans la région. C’est l’agglomération la plus peuplée du Pays d’Arlon. Le secteur tertiaire, notamment l’enseignement, y développe ses activités (faculté universitaire et enseignement secondaire).