Aliénation française et impérialisme français
1984 |
HelgĂ©, âExocet 500â avec le Lions Club de NeufchĂąteau, AL 18/05/1984
âExocet: nageurs de lâespoirâ, titre donnĂ© par le Lions Club de NeufchĂąteau Ă son opĂ©ration âsolidaritĂ©â, Ă la piscine de Carlsbourg.
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1988 |
José Seys battu et pas content, BOXE, LB 05/10/1988
‘JosĂ© Seys a Ă©tĂ© battu par le Marseillais Caramanolis de maniĂšre discutable aprĂšs avoir notamment envoyĂ© son adversaire au tapis Ă la premiĂšre reprise.’
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1991 |
Jean-Fr., Vandenbergh: “Le titre n’est pas une obsession.”, LB 05/02/1991
“La mentalitĂ© belge, jusqu’au boutiste, s’ accommode mal de l’ atmosphĂšre qui rĂšgne dans les clubs français: c’ est la loi du moindre effort dans toute sa splendeur. Il est exclu qu’ on fasse encore des efforts sur la pelouse lorsque le maintien est assurĂ©, par exemple. Les Français sont trop vite contents.”
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1993 |
Kickboxing – Vandenheuvel perd son titre mondial, LB 13/12/1993
“Notre compatriote NoĂ«l Vandenheuvel a perdu samedi Ă Paris son titre mondial (ISKA) de kickboxing devant le Français Dida. Vandenheuvel victime de plusieurs coups bas et coups de tĂȘte non sanctionnĂ©s, prĂ©fĂ©ra abandonner dans la 5e reprise.”
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1993 |
Saive habite Luttich, LB 25/5/93
A France 3, dans l’aprĂšs-midi de dimanche, alors qu’en finale de championnats du monde de tennis de table, le Belge Jean-Michel Saive dominait le Français Jean-Philippe Gatien, le commentateur, prudent, en avait dĂ©jĂ fait la moitiĂ© d’un Français. Hureusement, lâHexagonal pure-souche a fini par Ă©merger et tout le monde a pu s’en donner Ă coeur joie « outre-QuiĂ©vrain » selon la formule qu’on lit encore de temps en temps, mĂȘme dans l’Equipe. Dimanche soir, « Eurosport » diffusait cette mĂȘme finale Ă rebondissements. Les journalistes de la chaĂźne sportive, plus Parisiens que journalistes de nature, en ont profitĂ© pour signaler que Jean-Mi habitait Luttich, en Belgique. Depuis leur retraite suĂ©doise, ils ignoraient sans doute que, dans le mĂȘme temps, des jeunes de Rijsel, en France, se rĂ©voltaient contre les dealers de drogue. On ne peut pas tout savoir.
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1994 |
Jean-Marie Lesage, A La Roche, le dimanche 16 octobre 1994, pour les Français, la MontĂ©e Impossible, ce nâest pas français, Ardennes Magazine, N°76, pp.2-3
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1994 |
Paris-Roubaix: à la RTB: un commentateur français
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1996 |
12/10/1996
RTB: Lapébie: décÚs: 1937: a gagné le Tour de France
BRT: id + gele trui van toen: SylvĂšre Maes; de rest van de Belgische ploeg door Franse supporters van LapĂ©bie aangevallen — de ploeg kwam naar BelgiĂ« terug.  |
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1997 |
Mouscron, champion de France?, LB 23/01/1997
Leekens est devenu aprĂšs avoir Ă©tĂ© entraĂźneur de Mouscron, en plein championnat entraĂźneur de l’ Ă©quipe nationale. Happart ne voit qu’ une issue Ă ce problĂšme: demander Ă la fĂ©dĂ©ration française de football d’acceuillir les clubs wallons dans un championnat.
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1998 |
BOXE – Cyrille Delannoit perd le dernier round, LB 01/02/1998
Champion dâEurope des poids moyens en 1948 le 23 mai contre le Français Marcel Cerdan.
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1998 |
Charles Mortier, Quand Anquetil devenait âXâ, LB 18/04/1998
Jacques Anquetil, gagnant de façon autoritaire LiĂšge – Bastogne – LiĂšge en 1966, refusa de se soumettre au contrĂŽle mĂ©dical en arguant une atteinte Ă la libertĂ© humaine! A cette Ă©poque, seule la LVB avait une rĂ©glementation contre le dopage;
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1998 |
LâUnion belge fĂąchĂ©e, LB 18/02/1998
LâĂ©parpillement des supporters belges dans les tribunes lors de la Coupe du monde de football en France.
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2000 |
Oud-verzorgers José Vidal (80) en Guillaume Driessens (88) over de geheimen van de koers, in : Humo, 3124, 18/07/00, p.16-23
(Vidal) (Katalaans) (p.22) « /Dokter/ Dumas /dokter van de Tour/ was geen serieuze vent. In diezelfde Tour /1967 ?/ valt Willy Vanneste in de afdaling van de Galibier op zijn ellebog. Hij âcrepeertâ van de pijn. Na e rit roep ik dokter Dumas erbij, die me verbiedt hem te verzorgen. Maar zelf wou hij niks doen, dokter Dumas, al heb ik hem met eigen ogen Franse renners insputingen met cocaĂŻne zien geven. Hij dwong Vanneste tot opgave, schrijf maar op, hij âsaboteerdeâ hem omdat hij een Belg was ! Hij ontnam hem een plaats in de top vijf ! »
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2002 |
AthlĂ©tisme / Colloque – EntraĂźneurs français Ă Jambes, VA 14/12/2002
Dans le cadre des Ă©changes bilatĂ©raux (sic) entre le ministĂšre français des Sports et la CommunautĂ© française (sic) sâest tenu un colloque dont le thĂšme Ă©tait les Ă©preuves combinĂ©es (dĂ©cathlon, heptathlon) ; (…) Les entraĂźneurs français ont invitĂ© officiellement les meilleurs francophones Ă divers stages, ainsi que leurs entraĂźneurs, ravis de se rendre prochainement en Picardie.
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2002 |
CYCLISME â Tour de France 2002 / Le public va-t-il dĂ©goĂ»ter Armstrong ?, LB 23/07/2002
Comme le Texan, Eddy Merckx a vĂ©cu le mĂȘme problĂšme il y a trente ans. Il fut conspuĂ© par une partie du public, qui nâacceptait pas son emprise sur le Tour. Le cannibale renonça mĂȘme au Tour de France 1973 pour cette raisonâŠ
Armstrong a dĂ©clarĂ© quâune partie du public ferait mieux de rester chez lui plutĂŽt que de venir le conspuer sur les routes du Tour.
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2003 |
M.C., Quid de Roland-Garros 2004Â ?, LB 23/06/2003
AndrĂ© Steins, prĂ©sident de lâaile francophone de tennis : « Notre association serait Ă nouveau reprise comme une ligue française en ce qui concerne la distribution des tickets pour Roland-Garros 2004. »
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2004 |
Arts martiaux / Albert Vanden Broeck, expert belge en francombat, AL 17/11/2004
Le francombat est une Ă©cole de dĂ©fense française. LE PREMIER CLUB DE francombat en Belgique, Francombat-Gauume, adhĂšre Ă lâUnion française de Francombat. Albert Vandenbroeck (Saint-Mard)
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2004 |
P. Hx., La âblague belgeâ qui ne fait pas rire les Français, LDH 17/06/2004
Yves FrĂ©son, prĂ©sident de la fĂ©dĂ©ration royale du tennis belge, prĂ©sent Ă Roland-Garros : « Mon alter-ego français pensait que les âpâtits belgesâ ne feraient que de la figuration. AprĂšs la victoire de la paire Malisse â Rochus en double , il y a eu une poignĂ©e de main. Sans plus. »
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2005 |
Armstrong : « Virenque, filou mais héros pour Leblanc », LB 19/12/2005
Se confiant au âNieuwsblad », il rĂ©affirme quâil nâexiste aucune preuve de dopage Ă son encontre. Armstrong sâest par contre Ă©tonnĂ© de la diffĂ©rence de traitement dont fait lâobjet le Français Richard Virenque, figure centrale de lâaffaire Festina en 1998. Il dĂ©clare que le Tour est fĂąchĂ© car lâhistoire de ce dernier a Ă©tĂ© Ă©clipsĂ©e par un AmĂ©ricain vainqueur Ă sept reprises.
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2005 |
Françoise P., Pas de votre vocabulaire, DH 08/07/2005
Mercredi 6 juillet, 20 h 75, je viens de passer le meilleur moment tĂ©lĂ©visuel de ces derniĂšres semaines en zappant du JT de TF7 Ă celui de France 2. Ils sont formidables, ces Français. Ils sont fair-play, mĂȘme s’ils nous le diÂsent le visage cramoisi et les dents serÂrĂ©es! Si je me souviens bien, il y a quaÂtre ans, lors du mondial foot au JaÂpon, l’Ă©quipe de France Ă©tait dĂ©jĂ championne du monde pour la deuxiĂšme fois avant mĂȘme le premier coup de sifflet. Ils n’ont pas compris. Continuez, chers voisins, Ă vous comÂporter comme le coq qui vous symboÂlise et nous aurons encore souvent l’occasion de bien ricaner car visibleÂment, humilitĂ© et sportivitĂ© ne font toujours pas partie de votre vocabuÂlaireâŠ
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2005 |
Golf / Challenge de la Francophonie, LB 25/05/2005
Golf de lâEmpereur
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2005 |
Incident sur la route / Réforme des polices ?, LB 5/7/5
JE VOUDRAIS FAIRE PART D’UNE MĂÂSAVENTURE QUI AURAIT PU TRES MAL TOURNER pour mon mari, ma fille de a ans et moi-mĂȘme. Le 1er juillet, ‘nous avons empruntĂ© la E25 en direction du Luxembourg. Mon mari respectait la limitation de viÂtesse, qui Ă©tait de 80km/h, ce qui a semblĂ© ne pas plaire au conducteur derriĂšre nous, qui nous a collĂ©s de prĂšs pour ~suite nous dĂ©passer et venir freiner brutalement devant nous Ă plusieurs reprises. Mon mari a ,voulu le dĂ©passer et continuer sa route mais ce monsieur a continuĂ© sa conduite dangereuse en voulant nous percuter sur le cĂŽtĂ© puis en se mettant de nouveau devant nous et freinant, (…) le conducteur agressif a finalement empruntĂ© la sortie suiÂvante. Entretemps, j’ai tentĂ© de joindre la police via le 112. On m’a fait expliÂquer l’objet de mon appel pour en suite me dire de tĂ©lĂ©phoner au 101 pour porter plainte pour conduite dangereuse. J’ai appelĂ© donc le 101, oĂč on m’a fait raconter mon histoire pour ensuite me donner un numĂ©ro Ă contacter pour porter plainte. Je compose ce nouveau numĂ©ro et lĂ on me dit qu’il faut que je me rende Ă Verviers (j’habite Spa) pour porter plainte ou alors que j’aille Ă Battice. Je demande si je ne peux pas m’adresser Ă la police de Spa et lĂ on me dit: “Ah oui, vous pouvez”, heureuÂsement que je le demande! EvidemÂment, vu l’heure tardive (23 h 30), le bureau de police Ă©tait fermĂ© jusÂqu’au lendemain 8h. Je ne comprends pas un tel dĂ©sintĂ©ÂrĂȘt de la police pour les problĂšmes rencontrĂ©s par les citoyens, ils ne se dĂ©placent plus, n’entendent plus nos plaintes, ne sont plus prĂ©sents sur les routes ou dans les rues. ComÂment peut-on parler de police de proximité ? Elle n’a jamais Ă©tĂ© aussi Ă©loignĂ©e de nous. Cet incident aurait pu avoir des consĂ©quences dramatiÂques. ce conducteur est dangereux et personne ne va rien faire pour l’empĂȘcher de nuire l On va attendre qu’il provoque un accident morÂtel pour l’arrĂȘter ? (…) La rĂ©forme de la police, je n’y crois pas, c’est encore pire qu’avant et le sentiment d’impunitĂ© est de plus en plus grand parmi les dĂ©linquants. N.C. (Spa)  |
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2005 |
JO 2012 Ă Londres / Le meilleur a gagnĂ©, LB 07/07/2005  PARIS PAR-CI, PARIS PAR-LĂ, HAN, MANQUAIT MIREILLE MATHIEU Ă LA CANDIDATURE DE PARIS et on aurait eu le complet revival de la libĂ©ration, remplacez les Gl’s par des clowns du CIO et les Shermans par des autoÂcars aux couleurs Paris 2012 en baÂlade permanente dans la capitale deÂpuis un an. Et ils perdent. Boum. SeÂcond sur quatre. Premier des perÂdants, meilleur des perdants. (…) Depuis la pantalonnade de la presque Ă©lection de le Pen, la France semble boitiller, et accumule les Ă©checs. PerÂformance Ă©conomique anĂ©mique, Ă©chec au rĂ©fĂ©rendum sur la constituÂtion, repli sur soi, attachement Ă des avantages acquis intĂ©rieurs (privilĂšges et droits acquis) crĂ©ant une mentalitĂ© se ressentant Ă “extĂ©rieur (attacheÂment Ă la ridicule politique agricole commune), diminution de sa sphĂšre d’influence au niveau europĂ©en (pour ne pas parler de l’inexistante inÂfluence au niveau mondial… En face, on a ceux qui sont prĂ©sentĂ©s comme les forces du mal. On jouerait clans la guerre des Ă©toiles, ils seraient les Sith, le mal absolu, les perfides AnÂglais, les valets du grand capital. EcoÂnomie dynamique, pragmatisme, rĂ©Âseau international plongeant ses raciÂnes dans le commonwealth, chĂŽmage nul, pouvoir d’achat permettant Ă leurs retraitĂ©s de racheter littĂ©raleÂment le sud de la France et de perÂmettre Ă une certaine France rurale de survivre, enseignement perforÂmant et recherche financĂ©e Ă un niÂveau supĂ©rieur au reste de l’EuroÂpe. .. Si vous cherchez la place-to-be, si vous cherchez l’endroit oĂč cela se ~e, lĂ oĂč la mode, les arts, la culÂture et mĂȘme les nouvelles tendances fooding. les meilleurs restas se trouÂvent, c’est Ă Londres que vous allez les chercher, pas Ă Paris (…) Il fallait que le meilleur gagne. Le meilleur a gagnĂ©. Reste qu’il impose sa patte au reste de l’Europe. Extrait du forum “Votre avis sur LonÂdres 2012”, sur lalibre.be, le 07/07
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2005 |
Olympisme / Jacques Rogge soutient Londres contre Paris, LB 12/07/2005
Bertrand Delanoë a ciblé ses attaques sur Tony Blair et sur Sebastian Coe.
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2005 |
Plus humbles en 2016, D’AndrĂ© Co, par e-mail, DH 08/07/2005
Le coq français est tombĂ© de son piĂ©Âdestal. Majoritairement chauvins, les Français se voyaient dĂ©jĂ mettre le CIO en poche. M. Chirac avec toute son arrogance, M. DelanoĂ« le maĂtre de Paris, les sportifs, artistes… MainÂtenant les journalistes de TF7, France 2, France 3 se plaignent des voÂtes des pays anglophones. Quelle mascarade! Câest vrai que pour nous en Belgique, c’Ă©tait plus facile pour alÂler aux Olympiades Ă Paris. Mais LonÂdres n’est quand mĂ©me pas au bout du monde! Soyez plus humbles. (âŠ)  |
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2005 |
Sept raisons pour la victoire de Londres, LB 7/7/5  Sept raisons peuvent, entre autres, expliquer la dĂ©signation de Londres, mercredi, pour accueillir les JO 2012. 1. Le charisme et l’efficacitĂ© de l’ancien athlĂšte Sebastian Coe, prĂ©sident du comitĂ© de candidature.   . 2. Le rĂŽle du Premier ministre, Tony Blair, qui s’est livrĂ© pendant deux jours Ă Singapour avant le vote Ă un intense lobbying auprĂšs des membres du ComitĂ© international olympique. 3. Le caractĂšre multiculturel de Londres et la passion des Britanniques pour le sport. 4. La construction d’un parc olympique destinĂ© Ă rĂ©habiliter les quartiers dĂ©favorisĂ©s de l’est de Londres. 5. Cinq installations pĂ©rennes -le stade olympique! le centre aquatique, le complexe cycliste, le centre de hockey et le complexe indoor. 6. Le village olympique, qui sera transformĂ© aprĂšs les Jeux en un ensemble de 3 600 appartements pour la plupart rĂ©servĂ©s aux bas salaires – enseignants, infirmiĂšresÂqui Ă©prouvent des difficultĂ©s Ă se loger dans Londres en raison des prix de l’immobilier. 7. L’organisation satisfaisante des Jeux du Commonwealth Ă Manchester en 2002.
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2006 |
Finale du Challenge de la Francophonie au Mont Garni, LB 13/09/2006
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2007 |
Lambert FrĂ©dĂ©ric, Football / Danone Cup / « LâĂ©cole de Bertogne nâira pas Ă Lyon » (en finale)â AL 01/06/2007
Participation de lâEcole communale de Bertogne
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2008 |
J.B. (Huy), Le Tour de lâincohĂ©rence, CTR 18/07/2008
Il y a quelques semaines, aprĂšs une longue Ă©chappĂ©e nocturne, Tom Boonen franchissait – du bout du nez – la ligne blanche. Si, vis-Ă -vis des perÂsonnes qui l’adulent, cette consommation de droÂgue est inadmissible, il ne faut pas oublier qu’elle relĂšve de sa vie privĂ©e. Son geste n’Ă©tait en rien liĂ© Ă une quelconque envie de se surpasser dans une compĂ©tition sportive. Pourtant, les organisateurs du Tour de France l’ont empĂȘchĂ© de prendre part Ă l’Ă©preuve prĂ©textant qu’« il Ă©tait dorĂ©navant un mauvais exemple pour la jeunesse ». A mon sens, mentalement, cette interdiction sera bĂ©nĂ©fique pour notre sprinteur. Il pourra rĂ©flĂ©chir calmement Ă son geste et se remettre ainsi plus facilement en selle. En revanche, sportivement, ce refus est totalement illogique. Tel le maillot que Tom aurait dĂ» porter sur les Champs-ElysĂ©es, je suis vert de rage. Les diÂrigeants de la plus grande Ă©preuve cycliste sont claiÂrement incohĂ©rents. Ils accueillent des coureurs comme Valverde (impliquĂ© dans l’affaire Puerto), Schumacher (contrĂŽlĂ© trois fois positif aux amphĂ©Âtamines) ou bien encore Zabel (qui a avouĂ© s’ĂȘtre dopĂ© dans les annĂ©es 90), mais ne donnent pas la possibilitĂ© Ă notre champion de dĂ©fendre son mailÂlot Ă©meraude. Pourtant, au contraire de ces trois participants, le Belge n’est pas un tricheur. Alors pourquoi y a-t-il deux poids, deux mesures ? PrĂ©ÂfĂšre-t-on voir des athlĂštes malhonnĂȘtes porter les vareuses distinctives ? Il faut croire que oui. La desÂcente sinueuse entamĂ©e il y a dix ans avec l’affaire Festina est loin d’ĂȘtre achevĂ©e. Le Tour de France a vraiment perdu les pĂ©dales…  |
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2008 |
Vu de FranceâŠ: vision raciste  http://www.sportvox.fr:80/article.php3?id_article=22967 17/10/08         La derniĂšre histoire belge qui nâamuse pas tout le monde (ou la confusion des langues)  Le comitĂ© exĂ©cutif de lâUnion Royale Belge des SociĂ©tĂ©s de Football Association pourrait prendre une dĂ©cision sans prĂ©cĂ©dent dans le monde du football concernant son championnat amateur, voire ensuite professionnel… Lâunion fait la force. VoilĂ une bien belle devise nationale outre-QuiĂ©vrain qui risque de ne plus vouloir dire grand chose dans trĂšs peu de temps. AprĂšs la trĂšs grave crise politique que le Royaume a connu il y a peu de temps, le sport va-t-il faire aussi les frais des graves dissensions institutionnelles, culturelles et communautaires? Le football, jusque lĂ Ă©pargnĂ© par les Ă©ternelles guĂ©-guerres linguistiques, pourrait voir son championnat amateur scindĂ© en deux associations distinctes et Ă terme, toucher Ă©galement les deux premiĂšres divisions dâĂ©lite du pays. La biĂšre qui coule pourtant sans trop de modĂ©ration dans le championnat belge, tant chez les hommes et les femmes que dans les caisses de lâUnion Royale (puisque principal sponsor du championnat de 1Ăšre ligue qui porte le nom dâune cĂ©lĂšbre boisson), ne semble pas suffire. Les dirigeants de club de la communautĂ© flamande et leurs riches entreprises, estiment contribuer davantage aux finances fĂ©dĂ©rales que leurs collĂšgues wallons francophones, plus modestes. Un partage des ressources qui semble Ă prĂ©sent devenu inacceptable pour plusieurs politiciens tendance “nationalistes” du nord du royaume. Car pour ceux qui ne lâignoreraient encore, flamands et wallons ne peuvent pas sâencadrer depuis la nuit des temps, dâoĂč le dĂ©chirement de cette nation qui connut ses heures de gloire au mondial 86 au Mexique. De vives rĂ©actions nâont bien sĂ»r pas tardĂ© Ă se faire entendre et notamment celles du PrĂ©sident du Standard de LiĂšge, Luciano dâOnofrio qui sâest dĂ©clarĂ© trĂšs inquiet par la tournure des Ă©vĂšnements: “Ceci est un premier pas, mais un pas dangereux car si la fĂ©dĂ©ration est dĂ©mantelĂ©e, que restera-t-il encore? Les clubs flamands se sont laissĂ©s prendre en otage par lâargent et les politiciens flamands. Si lâon en arrive Ă une scission, le Standard nâaura pas dâautre choix que dâĂ©migrer en France“, avertissait dâOnofrio sur le site officiel du Standard, samedi. Pourrait-on donc voir un jour un “derby” LOSC-Standard en ligue 1 ? En tout cas, M. Bosman, vous avez encore du pain sur la planche… |